Mon Bistrot Je t’avais crée avec mon cœur, mon imagination J’ai vécu avec toi de longues heures de passion Aujourd’hui, évaporé, envolé perdu dans les nuages Il ne reste rien de rien : des pas effacée sur un rivage Tous les amis rencontrés autour de ton comptoir Disparus comme un joli rêve je ne veux pas y croire Dans ton salon il y avait des refrains et des fous rires De toi il ne me reste rien, ni le meilleur ni le pire Le « Bistrot des quinquas plus » est retourné à l’irréel Mimi, oublie... ce n’était qu’un beau rêve, que du virtuel Recommencer une aventure, travailler avec ardeur Ne pas baisser les bras, faire du mieux avec son cœur Que l’on puisse à nouveau partager, échanger, exprimer Ses blagues, ses idées, ses chansons dans la joie et l’amitié Oui, je le referai, mais il faut me laisser un peu de temps Et cette fois je n’oublierai pas que tout cela n’est que du vent Mimisud - 28 juin 2005 |