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General : Les politiques mentent-ils, ou non, "en toute connaissance de cause"..? !
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 Message 1 of 3 in Discussion 
From: MSN NicknameRalph3678  (Original Message)Sent: 7/17/2006 10:41 AM

                « Les politiques mentent-ils, ou non, en toute connaissance de cause »

 

La présentation par le Journal du Dimanche du livre « Témoignage » de Nicolas Sarkozy, dont il publie un court passage, me donne une nouvelle occasion de dénoncer les « mensonges », non seulement des responsables politiques, toutes tendances idéologiques confondues, mais également de toutes les soi-disant « élites » du monde médiatique, intellectuel et associatif « droit-de-l’hommiste ».

Les propos suivants de Nicolas Sarkozy y sont notamment rapportés :

« La politique n'était pas "une tradition familiale" et "tout" aurait même dû l'en éloigner, raconte-t-il: "Je n'avais ni relations, ni fortune, je n'étais pas fonctionnaire et j'avais un nom qui, par sa consonance étrangère, en aurait convaincu plus d'un de se fondre dans l'anonymat."Mais "transformer le quotidien, rendre l'impossible envisageable, trouver des marges de manœuvre m'a toujours passionné", assure Nicolas Sarkozy.

"L'effort est toujours payant"

La politique doit se faire "avec les Français, pas contre eux, ni sans eux", poursuit le président de l'UMP, qui dit aimer l'idée d'une "action commune, vers un même objectif, pour donner un espoir à des millions de gens".

"Tant de gens ont renoncé. Renoncé à croire que demain peut être plus prometteur. Renoncé à un avenir plus heureux pour leurs enfants", ajoute Nicolas Sarkozy, qui dit vouloir expliquer dans son livre "qu'il n'y a pas de fatalité pour celui qui veut bien oser, tenter, entreprendre".Car, souligne-t-il, "dans un monde qui bouge à toute vitesse, l'immobilisme est la posture la plus risquée pour notre pays comme pour chaque Français."

"Je crois que tout se mérite et qu'au final, l'effort est toujours payant", conclut-il. "Voilà mes valeurs. Voilà pourquoi je fais de la politique, voilà ce qui justifie, à mes yeux, de vouloir conquérir les plus hautes responsabilités. Voilà ce que je viens vous dire. " » [Fin de citation]

Ces propos me conduisent à poser la question suivante : « Les politiques, et les autres, mentent-ils, ou non, « en toute connaissance de cause » ?

Je passe rapidement sur les propos de Nicolas Sarkozy qui nous la joue modeste quant à ses origines, mais qu’il est bon de rectifier. Lorsqu’il écrit : « Je n'avais ni relations, ni fortune, l’encyclopédie du Net, Wikipédia, écrit à ce sujet, entre autre, comme chacun peut le vérifier :

« Il est le fils d'un Hongrois, Pál Nagy-Bócsay Sárközy né à Budapest, en 1928, dans une famille de l'aristocratie hongroise, possédant des terres et un château à Alattyán, à 100 km de la capitale.

Son nom est alors francisé en « Paul Sarkozy de Nagy-Bocsa ». Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu'il épouse. Cette dernière, fille d'un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, juif séfarade de Salonique, est alors étudiante en droit.

Nicolas Sarkozy passe son enfance dans le XVIIe arrondissement de Paris puis à Neuilly-sur-Seine. » [Fin de citation]

En conséquence, pas de quoi faire pleurer sur son sort dans les chaumières ; ils sont nombreux à avoir suivi un parcours autrement difficile pour parvenir au sommet ! Mon propos, toutefois, se veut au-delà de ce « petit » mensonge de circonstance justifiant la suite du discours, et notamment cette affirmation : "L'effort est toujours payant", sous-entendant par-là que « quand on veut, on peut » ; c’est néanmoins malvenu de parler ensuite de « sincérité » et d�?« authenticité » sur un plateau télévisé.

Pour répondre à la question posée, il est manifeste que, sur le point contesté, le mensonge est fait « en toute connaissance de cause », puisque Nicolas Sarkozy n’est pas un enfant de la DASS, ignorant de ses origines ; il n’est tout de même pas entré par hasard à l�?I>UDR au lieu de la LCR ! Cependant, mon propos concerne des mensonges d’une autre ampleur, à savoir ceux de la superstition idéologique notamment, dont les « politiques » se font les porte-parole au même titre, d’ailleurs, que toutes les soi-disant élites qui font l’opinion ; cela est illustré à merveille par ce propos de François Hollande : « Cette gauche qui veut changer le monde, et qui sait comment le changer » ! [LCI, 21 novembre 2004]

Je mets sur le même plan cette fallacieuse promesse et le « tout est possible » évoqué, hier, par Nicolas Sarkozy sur TF1 ; même si, selon son expression, c’est "pour donner un espoir à des millions de gens", cela n’en demeure pas moins un « mensonge » ! Mais, peut-on parler ici de mensonge « en toute connaissance de cause », ou non ?

J’affirme que pour Nicolas Sarkozy, comme pour François Hollande, ainsi que pour toutes les élites dénoncées nommément, il s’agit de mensonges « en toute connaissance de cause » puisque, comme tout mon discours avait pour seul et unique but de leur démontrer que les « croyances au miracle » idéologiques se fondent seulement sur l’idée superstitieuse « vouloir, c’est pouvoir », ils ne peuvent plus prétendre l’ignorer ; et ce, même si aucun d’entre eux [journalistes, intellectuels, politiques et militants associatifs « droits-de-l’hommiste »] n’a eu le courage intellectuel de confronter ses points de vue « relatifs partisans » à LA Vérité éternelle absolue. Et il n’y a guère d’espoir que « ça » change, puisque celle-ci est contraire à leurs intérêts de toutes sortes ! [Il peut paraître légitime à certains de nier la réalité ou Vérité absolue, à condition toutefois de ne pas refuser tacitement d’en débattre, et pire de la dissimuler !]

Toutes les fallacieuses promesses des responsables politiques, tous sans exception, parlant de monde meilleur, plus juste, voire d’ordre juste, ainsi que de leurs inspirateurs et porte-parole, se fondent uniquement sur des formules creuses, comme « vouloir, c’est pouvoir » ou encore, chez nous, « impossible n’est pas français », par exemple. Ils y croient tellement, ou font semblant d'y croire, que Jacques Chirac a parlé, durant la dernière campagne présidentielle, de rendre possible l’impossible, et dans les propos de Nicolas Sarkozy, rapportés ci-dessus, il est également question de rendre l’impossible envisageable, ce qui revient pratiquement au même, puisque corroboré par son « tout est possible ». Cela laisse douter du niveau d’entendement des milliards d’individus prêts à croire à ces sornettes, mais il est vrai que, comme répété maintes fois, l’être humain est davantage porté par nature à « croire » �?aux miracles ! -, à imiter et à répéter, qu’�?réfléchir vraiment !

Faire l’éloge du « volontarisme politique » n’est en aucune manière une garantie assurée de résultats, comme il suffit d’en juger en matière de délinquance et d’insécurité, voire de chômage, d’éducation ou d’immigration clandestine, parmi une infinité d’autres exemples nationaux et internationaux ! Comparer les résultats des uns et des autres dans ces domaines relève davantage de l�?« esprit partisan » que de la réalité, dont les chiffres sont par ailleurs inconnus, incomplets, voire manipulés.

Le renouveau du conflit au Proche-Orient, bien loin d’être le dernier, suffit à montrer ce que peut réellement notre volonté, notre « libre arbitre », cette pseudo volonté libre ; une volonté, qui serait totalement détachée du « déterminisme infini », c’est-à-dire de l’enchaînement infini multidirectionnel des causes et des effets de tout phénomène, reliant un passé éloigné de plusieurs millénaires à notre monde contemporain, comme l’illustre précisément la « mini guerre » actuelle au Moyen-Orient, pour employer le terme adéquat.

Cette pseudo volonté libre est d’autant plus impuissante que les « volitions » des uns s’opposent à celles des autres, au Proche-Orient comme ailleurs, tous étant également convaincus que « vouloir, c’est pouvoir » ! Or, les uns veulent « par intérêt » le contraire de ce que veulent les intérêts des autres, et chacun continue pourtant à prendre ses désirs pour la réalité. Vous avez dit « Raison »..? !

C’est pourquoi je veux rendre hommage, une fois de plus, à Mikhaïl Gorbatchev, seul homme politique d’envergure à ma connaissance, à avoir publiquement reconnu que « rien ne peut être fait en dehors du cadre d’une nécessité supérieure », bien au-dessus de notre pseudo volonté libre. La « nécessité supérieure » de Gorbatchev, ce n’est rien d’autre que le « Deus sive necessitas » de Spinoza, dont les pseudo élites ne veulent pas entendre parler, a fortiori débattre !

Pour en tirer une conclusion pratique à l’intention de ceux qui croient au miracle, je maintiens que, en raison de cette nécessité supérieure, « nous - chacun d'entre nous ! - ne faisons pas ce que nous voulons, nous faisons ce que nous pouvons » ; autrement dit, nous faisons seulement ce qui est déterminé par cette nécessité supérieure ! Bien avant Spinoza, cela n’avait pas échappé à Epictète, comme l’illustre son popos : « Ne veuille pas que ce qui arrive arrive comme tu veux, mais prends conscience que ce qui arrive arrive comme il arrive. A « vrai philosophe », salut !




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 Message 2 of 3 in Discussion 
From: jamSent: 7/17/2006 9:56 PM
(coluche)

Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent! C'est pire!
...
Rappelez-vous toujours que si la Gestapo avait les moyens de vous faire parler, les politiciens ont, eux, les moyens de vous faire taire.
...
Le plus dur pour les hommes politiques, c'est d'avoir la mémoire qu'il faut pour se souvenir de ce qu'il ne faut pas dire.
...
Ca fait beaucoup marrer les gens de voir qu'on peut se moquer de la politique, alors que dans l'ensemble, c'est surtout la politique qui se moque de nous
...
Le travail n'est pas un but dans la vie. Le but, c'est d'arriver à ne rien foutre. Et à part gangster ou homme politique, des choses qui se font sans qualification, y a quasiment qu'artiste.
...
A quoi ça sert le pouvoir, si ce n'est pour ne pas en abuser ?
...
Chez un homme politique, les études c'est, quatre ans de droit, puis toute une vie de travers.
...
Je crois que la grande différence qu'il y a entre les oiseaux et les hommes politiques, c'est que de temps en temps, les oiseaux s'arrêtent de voler.
...
La moitié des hommes politiques sont des bons à rien. Les autres sont prêts à tout.
...
La politique, c'est pas compliqué, il suffit d'avoir une bonne conscience, et pour cela il faut juste avoir une mauvaise mémoire !
...
La politique, c'est un peu comme le flirt... Si on veut aller plus loin, à un moment, il faut aller plus près.
...
Le gouvernement s'occupe de l'emploi. Le Premier ministre s'occupe personnellement de l'emploi. Surtout du sien.
...
Le mois de l'année où le politicien dit le moins de conneries, c'est le mois de février, parce qu'il n'y a que vingt-huit jours.
...
Les dirigeants ont promis qu'ils tiendraient bien leurs promesses. Entendez par là qu'ils ne sont pas près de les lâcher.
...
Les émissions politiques, c'est simple. On fait venir un homme politique, on lui pose une question, il n'y répond pas et on passe à une autre.
...
Les hommes politiques, c'est comme les trous dans le gruyère. C'est indissociable : plus il y a de gruyère, plus il y a de trous, et malheureusement, plus il y a de trous, moins il y a de gruyère.
...
Les hommes politiques, il y en a certains, pour briller en public, ils mangeraient du cirage.
...
Les hommes politiques, on devrait les faire souffler dans le ballon pour savoir s'ils ont le droit de conduire la France au désastre.
...
Moi, les hommes politiques, j'appelle ça des timbres. De face, ils vous sourient, ils sont figés. Mais si jamais vous leur passez la main dans le dos, alors là, ça colle !
...
On ne peut pas dire la vérité à la télé : il y a trop de monde qui regarde.
...
Pour qu'un écologiste soit élu président, il faudrait que les arbres votent.
...
Pourquoi des mecs élus par nous pour faire ce qu'on veut, au lendemain des élections, font ce qu'ils veulent ?
...
Quand un politicien ne dit rien, il peut penser quelque chose. Dès qu'il parle, c'est qu'il ne pense à rien.
...
Si jamais nos hommes politiques se mettaient à tenir les promesses qu'ils font, il leur faudrait le budget des Etats-Unis.
...
Si la méchanceté suffisait pour faire fortune, il y a beaucoup de journalistes qui seraient célèbres.
...
Si les journalistes étaient des funambules, il y aurait une forte mortalité dans la profession.
...
Vous savez que les hommes politiques et les journalistes ne sont pas à vendre. D'ailleurs, on n'a pas dit combien.

Reply
 Message 3 of 3 in Discussion 
From: casquetteSent: 11/8/2006 12:22 AM
Il est important de parler d'un sujet serieux sans se prendre aux serieux
C'est une bonne chose !
 
Je vais essayer d'en faire de même ...
Tant que nous allons placer des hommes pour diriger des hommes nous répéterons l'histoire sans fin des guèrres et des conflits. La situation que nous vivons aujourd'hui en est le résultat. Que personnes ne vienne me dire que celà a toujours été comme celà, et que celà sera toujours comme celà ... blabla blabla ...
 
Ce que nous vivons est tout à fait exeptionnel par rapport au reste de l'histoire humaine. La première preuve en est, que nous n'avons jamais été aussi nombreux que nous le sommes sur terre en ce moment.
 
La seconde est, que jamais dans l'histoire humaine, nous n'avons eu les moyens de communiquer comme nous les avons aujourd'hui.
La troisième est plus théorique, mais de plus en plus visible. Il s'agit de la déterioration de la morale humaine et de sa soi-disant intelligence.
 
Reprenons nos "avoir"
Qui a instauré les banques ? Ce n'est nullement les politiques
Qui a instauré les mutuelles ? Pas les politiques
Je veux sîmplement dire que aucun besoin humain n'a été instauré par le moindre "dirigeant" de la moindre nation.
C'est la population elle-même qui les mit en place, pour ces propres besoins.
 
Ces srtuctures, une fois en place ont été immédiatement politisées pour que les "dirigeants" puissent "pouvoir" et "avoir" main mise sur le réalisme la conscience de la population. Il est important de mettre des personnes à la tête des structures, non pas pour les changer, mais pour les maintenir. Mais il est une folie pure de mettre des gens à la tête des nations !
 
Aujourd'hui, nous avons des politiques dont nous prenons conscience de leur totale inutilités
Ce sont les moyens de communications qui nous permettent, entre nous, de nous en rendre compte !
 
Un autre moyen s'appelle la télévision
Mais là, contrairement à l'internet, elle a été politisée
La télévision politisée n'est plus aujourd'hui qu'une gigantesque propagande constante. On y retrouve des messages et de la désinformation constante qui consiste a endormir et a embrouiller la population entière. Ces messages se logent bien sûr dans les journaux télévisés, mais aussi dans les publicités en tout genre. Bien sûr ces messages sont des résidus des politiques qui imposent leur idées à l"ensemble des autres personnes. Ces politiques sont les principaux investisseurs de ces télévisions.
 
Et la boucle est bouclée !
Mais le plus grave reste à venir. Appellez-moi pessimiste, communiste, écologiste, intellectuelle, je m'en fou. De toute façon, nous vivons une époque où il semble être essentiel de mettre un nom sur chaque chose. Alors appellez-moi comme vous le voulez !
 
Ce qu'a apporté la télévision aux politiques c'est l'inversion de leur responsabilités.
En parlant dans la boîte à images aujourd'hui, les politiques imposent à la population de faire des éfforts en matière de tolérance, de prévention, etc...
Celà leurs permets de ne plus rien avoir à faire.
Et en plus de pouvoir rejetter sur la population de fausses responsabilités. Ces responsabilités s'appellent racisme, intolérance, etc ..
 
Les familles de nobles sont toujours la grande imbécilité bien en place. La meilleur preuve en est la France ainsi que la Belgique. Je parle de ces deux pays car je les connais assez bien. En France, dès que vous avez quelqu'un qui tente de changer réellement quelque chose, vous avez immédiatement ces famille de nobles qui se rassemble d'un seul et même parti qu'il n'est pas besoin de citer.
 
Pourquoi ces partis recoivent-ils des voix, et par qui ?
Regardez les rues !!!
Regardez les logement ... sociaux ou quartiers à risques !!!
Regardez les récidivistes et les multi-récidivistes en tout genre !!!
Reagardez ces innombrables familles qui ne travaillent pas et n'en ont nullement envie, et qui pourtant, bénéficient de bien plus d'avantages que le commun des travailleurs ou même le simple citoyen !!!
 
La vrai question est :
Qui a intérêt à ce que le mensonge persiste ???
Qu'elle sont les gens qui parlent de sociale en créant des guèrres dans nos rues  et dans nos têtes ???
 
Non, ce n'est pas les chomeurs
Non, ce n'est pas les policers
Non, ce n'est pas les professeurs
 
Ouvrez les yeux
Je ne suis pas la vérité, je suis ma vérité
Ouvrez les yeux et voyez la vôtre !!!
 
Dans quel parti les scandales éclatent de tout côté
Qui était à la tête des nations en Europe lors de l'éclatement des deux premières guèrres mondiales ?
Et comme par hasard pourquoi sont-elles parties d'Europe tout les deux ?!
On se le demande encore ???
 
Je ne dis pas qu'un parti soit meilleur qu'un autre, je dis simplement que ceux qui sont en place nous mène au même endroit que ceux de ces époques précédentes. On prends les mêmes et on remet le chaos.
Dans quel but ?
 
Il est bizarre de constater, que non seulement lorsqu'un scandale financier explose dans un parti, le principale intéressé n'est pas conduit en prison. Mais il est encore plus étrange que l'on en recerche pas les capitaux disparût !!!!
 
Le meilleur moyens de sortir des capitaux de cette ampleur (car ces scandales pèsent des milliards d'euros), c'est de créé le chaos, la guèrre militaire, ou civile. Alors, en attendant ce ... chaos, ces politiques (dont je ne citerai toujours pas le parti) préconisent la tolérance des drogues douces, la tolérance de l'imigration (on déplace le problème au lieu de le résoudre là où il se trouve), La tolérance de la "justice", ... etc. Au profil de qui ??? 
 
Je vous l'ai dis
Je ne suis pas la vérité
Mais je suis Ma vérité: Celle que je vis, celle que je vois, celle que je subis !
Quelle est la vôtre ???
 
Michel