Non, pas l'arbre de la connaissance... l'arbre aux fruits pourris dont les hommes se nourrissent. Ha! connaissance! comme l'illusion est bien môche, tu ne trouves pas?? Dis, tu manges des vers de terre??

 

C'est que tu m'inspires beaucoup, toi... Merci. Esther

Salut Esther

 

Bon, j'ai écrit une réponse voilà une couple de jours et c'est seulement aujourd'hui que j'ai été capable de le soumettre... Je n'ai pas encore découvert le pourquoi que je viens à avoir des difficultés comme ça à faire des fonctions à ce groupe msn...

 

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À vrai dire, il est difficile de dire qu'on connait une personne par ce qu'il-elle écrit sur l'internet...Ce dernier est un Médium qui se donne mal à l'émotion, au ressentis de certains des écrits... Il est parfois très facile de voir plus, de voir moins, de voir mal, ce qu'un autre veut dire, expliquer, communiquer, car tout ce qui est écrit doit passé par le contaminer qui le lis, et il-elle peut avoir des revendications, des subjectivités qui l'aveugle au vrai sens de l'écrit....

 

J'essaye toujours de me le rappeller, car de mon expérience il a souvent querelle pour rien... J'en ai même fait partis de débats où l'on pensait avoir divergence, mais que dans le fond on disait la même chose différemment...

 

Je lis le Cercle car je me suis attacher à certains de ses participants, qui faisait partis de ce groupe comme Mimi, Personne, Leary, Ralph, Tao, etc., donc certains de ces derniers font encore partis du groupe mais qui ont décider de plus participer au groupe de Tao quand il a partis le sien, un site qui est très bien surtout si on veux connaître sur plusieurs auteurs philosophique...

 

Ce site, depuis qu'il est partis, passe par des vagues de participation, des fois la vague est bien haute, comme autant la vague peut être basse comme la période présente...

Moi je l'utilise pour écrire mes follies, j'aime composer se que je mijote dans mon cervical... HAHAHA

 

Ce pour qui est du ver, je le connais très bien... Je suis travailleur agricole, et dans un verger organique, alors voilà un petit bout de temps de ça nous avions bataille acharner envers ce ver, avant qu'il soit capable de réduire organiquement l'attaque de la pondaison de la Mothe qui produisait le ver... On passait une partie de l'été à trouver les pommes qui avait des trous, quand on en trouvait on passait à travers de la pomme jusqu'à ce qu'on trouve le ver pour le détruire, car chaque ver recommençait le cycle de destruction de d'autres pommes par la "Codling Moth", terme anglophone que je ne connais en français, il pouvait avoir jusqu'à 4 cycles par été... C'était le bon vieux temps... HAHAHA

 

On s'attache à certaines connaissances, autant pourrites qu'elles soient.... Et certaines de ces connaissances nous contaminent d'une façon qu'on se subjecte à des attractions, des temptations qui nous emboitent dans notre chemin....

 

Le dicton "je suis ce que je pense" peut aussi être traduit de "je suis ce que je connais", ou si on pousse la note "je suis ce que je m'attache de mes présentes et passés connaissances qui contaminent mon être"....

 

La connaissance est à double tranchant, comme tout dans cet univers d'un semblant de polarité (la polarité est aussi une invention humaine), car si on suit l'illusion de d'une moralité bien humaine, on peut dire que certaines connaissances font du bien et d'autres font du mal...

 

Ce qui est imporatant je crois, est d'être capable de jeter à la poubelle bien facilement toute connaissance qui nuit à notre avancement...

 

Mais hélas, nous qui nous croyons humains s'attachent, s'addictent très facilement à la connaissance, même au connaissance nuisible.... HAHAHA

 

PPPPPiiiiieeerrrreeeee

Oui, comme tu le dis bien, pour ce qui passe "toujours" par la contamination dont on ne doit rien retenir, rien, au risque de contaminer le coeur lui-même, la tente, l'abri sûr. Je prends connaissance de chacune de mes lettres et c'est le coeur fort et vide en connaissance de tout que j'accomplie l'annonce, entête de mes lettres. Ne t'afflige pas de ces choses qui sont pleines de promesses, je t'apporte une pomme. hahaha! et un ver...

 

Des yeux; dont tu me parles et perçoivent à peine les desseins merveilleux du "Tseda" et dont la langue maternelle raisonne encore aujourd'hui sur les bords du jourdain... la-bas, la-bas par delà les mers. Tu m'écoutes, et tu sens monter en toi la vague de la mer, au son de l'eau, du bruit des vagues, tu ressens l'émotion de l'étant. Simplement, des yeux pour voir la mer et la mer seulement... Je suis tombée de la mer sur le sable et je vais, moi, avec pour toute lampe ce coeur qui a fait retour vers les eaux fortes et salées de la mer, juste pour me baigner, m'immerger aux bercements des vagues.

 

C'est qu'il faut des yeux pour voir et des oreilles pour entendre les doux ressacs des eaux de la mer dans l'Olam azéh...

 

Esther

 

 

 

 

 

 

 

 

Salut Esther

 

C'est bien ce que tu écris, des "vers" poétique... HAHAHA

 

Cest plus facile pour certains de retenir, s'attacher à la connaissance... La partie rationnelle du cervical adore utiliser toutes connaissances et de faire débats intérieures avec ce qu'elle apprend, même si cette connaissance est à la base, de différentes sources, vérédiques ou non, cela ne semble avoir aucune direction, excepter la direction de l'importance qu'on y donne consciemment, inconsciemment, aux connaissances... Cette partie rationnelle ne l'est pas tout à fait rationnelle dans le fond, elle est autant subjecte à l'émotivité, aux impressions émotives que la connaissance inflige au contact du cervical...

 

Sa peut être difficile de pas retenir pour plusieurs si ils n'observent pas, ne prennent pas conscience, ne se donnent pas le temps de comment cela peut les affecter...

 

Une parenthèse de pensée que je dois écrire qui peut avoir une certaine affiliation....

 

Souvent on peut avoir impression quand une personne quitte de proche ceux qui l'aiment, qui aiment, que la personne semble "fuire" ceux qui l'aiment, qui aiment, et cette impression peut donner en retour comme connaissance subjective que la personne les aiment moins, le rationnel se mêle avec un semblant d'émotivité de l'heure et des pensées peuvent se suivre comme, bon il ne veut plus être proche alors il nous aime moins, cette pensée est bien mathématique, rationnel en nature, elle peut sembler être un fait.... Mais cette pensée est truchée probablement par un mal que la personne ressent du départ de la personne aimer, et le rationnel essaye de quantifier quelque chose qui ne peut être quantifiable, avec une certaine connaissance la personne crée une autre connaissance, autant qu'elle soit en erreur ou non...

 

Au lieu de se dire que la personne semble "fuire" ceux qui l'aiment, qui aiment, et on change ce donner par, la personne part à la "rechercche" de son bonheur, alors la nouvelle équation dans le rationnel de ceux qui sont quitter peuvent prendre comme exemple de pensée une approche très différente, il part à la recherche de son bonheur pour qui soit capable de nous aimer plus, encore une pensée bien mathématique, rationnel en nature et celle-ci aussi peut sembler être un fait...

 

Mais tous les deux approches peuvent être dans le tord, car tous les deux essayent de quantifier l'amour en tant que tel, quantifier l'inquantifiable... Tous les deux approchent peuvent être dans le tord pour les mots fuir et recherche, etc., etc., .....

 

La recherche du bonheur semble avoir racine dans le but d'être en paix avec le soi.... Et la paix avec le soi semble se faire surtout dans l'absence de connaissances contaminées...

 

De se réveiller le matin et de faire vagues à toutes vieilles connaissances, de reconnaître que la nouvelle marée de la journée vas amener d'autres connaissances qui vont surement se mêler aux vieilles pour donner encore des couleurs abjectent dans le tableau peinturer de la vie... Sur ce tableau, il y a vague de différentes couches de couleurs qui s'établient, certaines de ces vagues de couleurs peuvent devenir très épais si on ne fait que de peinturer par-dessus les couleurs existentes, au lieu d'effacer, d'enlever, les couches antérieures...

 

D'utiliser le tableau à neuf, de recommencer la peinture sur un tableau vide, serait une approche d'est plus sensible... Mais il faut reconnaître que "la peinture à l'huile est bien plus difficile" à soulever, enlever, effacer "que de la peinture à l'eau"... HAHAHA

 

Alors il faut teinter le canvas de la vie avec de la peinture à l'eau.... HAHAHHA

 

Que la connaissance doit être teint, vue comme de la peinture à l'eau... HAHAHA

 

PPPPPiiieeerrreeeeee

Merci Pierre pour cette lettre... elle m'est précieuse. Pour ce qui est de tes techniques picturales. La dilution, quelle bonne idée, comme une aquarelle toute en eau.

 

Esther

hahahaha!

 

Salut Esther

 

Je vois bien que tu t'es lâché lousse sur notre ami Ralph... HAHAHA

 

Tu as bien une écriture très imaginaire...

 

Mais si je peux faire suggestion sur son cas, c'est qu'il y a balance à faire avec le temps qu'on se donne à lui....

 

Sa personnalité écrite démontre une appétit assez grande pour contredire juste pour le fait de contredire... Il semble vivre pour la contradiction, et "sa" version Spinoziste de comment il voit les choses est parfaite pour dénier, contredire n'importe qui, n'importe quoi...

 

Autant que c'est bien facile aussi de trouver des fautes dans sa logique, et de les pointer, il ne vas point les accepter, car il utilise un "snobisme" philosophique de débats, une négativité hautaine que tu es plus bas que lui si il y a désaccord, de ce fait il est impossible de surmonter sa montagne d'ego construis par le volcan des mals de son passé qui est tout à fait secret, car il ne dévoile presque rien de ce qu'il est... Pourquoi?... Mon assomption serait que de se dévoiler serait à l'encontre de l'image qu'il essaye de projeter, et aussi de sa façon de voir il est seul envers le reste du monde, le reste du monde sont l'ennemis, et en guise de guerre on ne dévoile pas des positions, des ouvertures qui seraient vulnérables...

 

Moi aussi j'ai pris le temps de répondre, de questionner, de commenter à ce qu'il disait... Mais je crois qu'il n'y a rien à faire, car il est aveugler, par sa propre idéalogie, dans sa propre idéalogie, où presque tout le monde ont tort, excepter ceux qui lui donnent raison...

 

Si je peux le décrire ainsi, il est un pêcheur, il lance l'hameçon, on mord, on pense avoir symbiose, mais il rejette, il comprend l'astuce, le syndrome du rejetter et joue sur cette psychologie pour son plaisir personnel... Car le rejetter veux se faire comprendre et revient pour être mieux compris... Et nier toute compréhension, compassion envers le rejetter donne pouvoir, et il semble bien aimer le pouvoir de se sentir plus haut...

 

En d'autres mots il joue sur la frustration des autres, et semble bien prendre plaisir...

 

C'est pour ça que je dis qu'il y a balance à faire, de lui donner du temps consentis envers lui ne fait que lui donner l'attention qu'il cherche, même si c'est une attention négative, autant qu'il dit qu'il na pas le temps pour les cocus et frustrés...

 

Mais je l'aime bien pareil, il est juste mal balancer, et peut-être juste un tout petit peu frustrer.... HAHAHA

 

PPPPPPiiiieeeerrrrrreeeeee

Oui, je sais. Je pense que Ralph est vraiment malade, pour ce qui est d'être contaminé par les importances de ce monde. Je ne l'en blâme pas, je corrige son tir, puisqu'il corrige le mien. Dans la simple expression "lui devoir quelque chose" et je connais le nom de tous mes débiteurs, lui il ne compte pas. C'est triste quand même, de devoir rendre compte lorsque l'on ne doit rien, tu comprends? Bien sûr que je rendrais comme nous le faisons tous. Sans conquête de l'autre et sans être conquise, ma nature s'y oppose.

 

Les ameçons, oui, certains en ont plein les poches prompt à la pêche à l'homme, parceque avant eux plusieurs seront passés pour montrer cette voie, de pêcheurs. Et je brîse les lignes. Toutes, je ne suis pas le poisson de la mer et je suis tout autant sans supporter les lignes. Deux poissons, je suis comme deux poissons. L'un vu et l'autre pas. Un noir et un blanc. Que "tout" oppose et je connais l'opposition dans la division de moi-même. Sans mal et sans conquête, j'apprends de l'était, l'étant et le venant, comme si le temps ne comptait pas. Et le temps ne compte plus, l'heure m'est inconnue.

 

Pierre, et sur ton nom je batirais ma communauté - Un homme a dit cela une fois, et cela fut réalisé par les pêcheurs d'hommes eux-mêmes aux poches pleines de hameçons. C'était un faiseur de futur, un vivant du venant, un prophète averti venu accomplir la tora. Parceque les hommes demandent toujours des comptes quand on ne leur doit rien, il est venu les rendres selon ce qu'il était. Entendons-nous, ce n'est pas ce que les hommes attendaient, ce n'est pas ce qu'ils lui demandaient, la justice, la bonté, ils n'en veulent jamais... Mais le vivant du venant avait bien planifié son accomplissement. Par poisson interposé en échiquier, je comprends chaque chose et chaque inter-venant. Ralph, le déificateur en Spinoza, as-tu lu ma découverte sur le cercle?? Benoît de Spinoza ( Béni de Spinoza ) ou Baruch Spinoza ( Béni Spinoza ). Fascinant je trouve, étonnant.. en dénonciation d'imposture hahaha!

 

( Ralph est un homme de bien, on y ajoute rien. ) Esther

Salut Esther

 

Oui j'ai bien vu ce que tu as trouvé... Mais Ralph est disciple d'une cause qui croit fermement... Autant qu'il essaye de défier la croyance, il est croyant... Une ambiguïté qu'il ne voit pas...

 

J'ai vu l'autre soir Le Code de DaVinci... Je le vois comme chevalier du culte Spinoza, du fantôme de Spinoza... HAHAHA

 

J'aime bien l'astuce du film, autant qu'elle soit fictive en nature... Ce n'est pas du nouveau, dans les années '70 des livres sur les mystères de se monde spéculait sur cette possibillité que le Christ avait des descendants... Ce que j'ai aimé par exemple était la possibillité de détruire le paternalisme acharner du Christiannisme dans la plupart de tous ses dériver... C'est un beau rêve... HAHAHA

 

L'ardente défense de Spinoza par Ralph me fait spéculer de croire qu'il y a peut-être une réincarnation proche... Qu'il a peut-être vécu dans l'entourage de se Spinoza historique comme ami-disciple et peut-être même comme l'auteur.... HAHAHA

 

C'est comme moi et Beethoven... J'ai toute une impression d'avoir vécu proche de se personnage historique, vu un entendement assez extraordinaire sur sa musique et son histoire... HAHAHA

 

Tu me fais penser à mon ami François, celui qui jadis a parti se site, ton écrit est bien visuel comme la poésie de mon ami...

 

Je vais partir un fil avec de sa poésie, le peu que j'ai de lui...

 

PPPPiiieeeerrreeeee

Le béni de Spinoza. Non, Ralph connait sa croyance animée d'une grande foi en Baruch où les écritures de la tora révèlent bien des secrets de la nature. Des oiseaux, des arbres, de l'eau... Le vatican cet ennemi du monde grand et fort, mais pas inébranlable à faire des moutons noirs pour vénérer le vénérable. Les idolatres, les nicolaïdes dont je hais jusqu'à la forme de ces gargouilles encornées sur les frontons de leurs églises. Une môcheté.

 

Je ne connais pas la teneur de ce que signifie réincarnation, ne sachant rien d'autre que du jour et de la nuit, une répétition infinie, inlassable dont je voudrais rompre le cours avec la force d'un géant. Je ne suis pas un géant, lorsque je sens en moi gémir ce que je suis puis s'affronter à cette joie immense commune à mon enfance d'être le monde entier. Me sentant minuscule comme une graine et immense à la fois. Un sentiment étrange où l'univers entier rejoint l'humanité, j'entends tout de l'avant qui faisait notre histoire, le désespoir d' Akhenaton, d'Abraham, de Moïse, de David, de nations entières déferlants armées sur le sol de la terre pour l'abreuver du sang.

 

Je ne connais pas la teneur de ce que signifie réincarnation, ne sachant rien d'autre que de la fin et du commencement. J'aime la fin, j'aime le commencement, comme si écartelée entre deux mue par mes propres forces, je me brîsais moi-même du milieu pour retrouver l'étant du monde. Connaissant le présent seulement où les armées encore foulent la terre aux quatre vents. Jérusalem, la cité d'or, comme fut autrefois au coeur même de l'Egypte la capitale d' Aton pour l'empire de l'or. Dont je reconnais ce scarabé de mon enfance qui pour avoir été abandonné sous mon lit, oublié, ne laissait derrière lui qu'une coque doré vide de vie. J'avais hurlé qu'on me le rende, ne connaissant rien à la mort, à la vie je l'ai cherché en vain pour qu'il revienne à sa coquille. Le mort était devenu. Comme un hiéroglyphe que je garde aujourd'hui encore et a une corne sur le devant comme une épée et deux petites sur les côtés sur le dessus de mon bureau, le témoin de mes cris.

 

Je ne connais pas la teneur de ce que signifie réincarnation, ne sachant rien d'autre du venant... Le peu que tu as de ton ami, est beaucoup pour moi, une abondance. Donnant le meilleur de lui-même, au diable les bouteilles, il lui faut bien cuver lui-même. Non? hahaha! merci pour ses poêmes, ton peu de lui... Qui es-tu Pierre? venir vers toi pour t'écouter est comme rejoindre un lac immense et calme, apaisant.

 

Esther

Salut Esther

 

À la réponse qui es-tu, voici une traduction tant bien que mal d'un poème-lyrique que j'avais composer en anglais.... Composer voilà un petit bout, mais qui souligne bien mes pensées de ce que je suis... 

 

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Je prétends d'être....

 

Je prétends d'être un Ange
Aidant d'autres vers la lumière

 

Je prétends d'être un Ange
Essayant de mettre les choses claires

 

Oubliant moi-même en attendant
Un crime psychique du moment
Briser des ailes plusieurs fois
Pour recommencer à voler encore une fois

 

Je prétends d'être dans des Missions
De donner est le verbe de l'outil

 

Je prétends d'être dans des Missions
Le temps est le mot qui relie

 

Me perdre dans ces instants
Avec la volonté d'un dément
Ne pas savoir comment il a été signifié
S'ils savent vraiment l'énergie dépensée

 

Je prétends d'être un Musicien
Préférant les sons aux lyriques

 

Je prétends d'être un Musicien
Aimant, vivant pour la musique

 

Créant dans le moment
Venant du centre du présent
L'improvisation est mon aubaine
Où je me sens un avec le ciel

 

Je prétends d'être un Homme Bon
De vivre une vie de positivité

 

Je prétends d'être un Homme Bon
Même en face de négativité

 

De savoir qu'on peut tomber
Même si on ne voit d'éternité
De souhaiter le bon à tous et autrui
D'aider les grands et les petits

 

Je prétends d'être un Père
Le principe est de guider

 

Je prétends d'être un Père
L'ancre est l'amitié

 

D'essayer de rester ouvert
Même en voyant des supplices précaires
D'essayer d'aimer sans jugements divers
Le chemin tordu de leur mouvement linéaire

 

Je prétends d'être Attacher
À toi et toi et toi

 

Je prétends d'être Attacher
Spécialement en ce moment à toi

 

Mais de se rendre compte que la corde
Doit être attacher avec ton accord
Car à tout moment avec la lame d'une épée
Le lien n'existe plus, le fil est coupé

 

Je prétends d'être En Amour
À toi ma présente folie

 

Je prétends d'être En Amour
De temps à autre il est dit

 

La cécité est l'un des champs exigés
Sentiments montants, repas passionnés
Appréciant la crème de ce momentanée
Finissant à être comme un beau rêve passager

 

Je prétends d'être un Esprit
Incarner en chair

 

Je prétends d'être un Esprit
Dans le désordre du temps et de l'air

 

Tout est illusion il est clair
Même toi ma chère
Vivant avec tous nos peurs de cet environnement
Jouant le jeu de prétendre pendant tout ce temps

 

Peut-être que c'est une excuse de ne pas sentir la solitude
Une façon folle de remplir un peu se vide d'habitude

 

Il y a toujours un commencement et une fin
À toute histoire, livre, ligne de feint

 

Le commencement peut être fantastique
La fin est un peu toujours dramatique

 

Entre les deux
Il y a du temps
Pour recapturer
Les essences

 

De voir le futur à travers l'imagination
Ce qu'on pense devient réel au fond
Si mes souhaits sont vrais et forts
Je peux affecter même toi dans ce sort

 

Est-ce que nos souhaits sont des futurs présents
En attente de se réaliser?
Une façon de prétendre dans notre conscience
Une main magique en arrière du ciel éclairer

 

Ou juste une partie de cette grande prétention
La mascarade de tous nos intentions
En faisant partie de cette grande invention
La beauté de cette incroyable dimension

 

Comme cet ange à la présence douce et fortifiante vers laquelle je suis venue me réfugier, un homme bon porteur lui-aussi du secret pour qu'il ne puisse s'ébranler. Un rêveur qui forme en lui des voeux cachés, ce croyant que les guerres vont cesser pour ne délivrer que sa paix et sa sérénité. Tu es..

 

Attaché avec moi vers ce complot secret du début qui s'annonce déjà est ammorcé. En toi, s'érige au coeur cette marque du vivant, celle que je connais. Reconnaissant ce que tu tiens du père. Ta voix, ne reste que la mienne lorsque je vois tes mots et se mêlent au coeur même pour qu'elle t'appartienne. Je suis...

 

Définissent en commun une liaison secrète, un grand désir ardent de vivre le venant, la brûlure du soleil sur la terre où l'herbe reverdie sous les pluies diluviennes qui tomberont des ciels pour lever les vivants... je t'aime.

 

Esther

 

Je veux, que chaque porte s’ouvre et se lève les vents, une pluie diluvienne pour étancher la soif. Je veux, que le vivant se lève et lève le vivant. Que se lève le monde, que dévoile les temps. Je veux tout l’univers ardent pour que s’enflamme tout le feu du venant. Je veux les hommes libres et libre de l’étant.

Je demande l’immersion, les vagues les plus immenses pour laver chaque coin de notre immensité. Je demande les mers pour qu’elles se déchaînent, déchaînant l’univers de notre humanité. Je demande l’enfant qu’un jour j’avais été, je le veux maintenant et présent au venant. Je veux tout mes amours du début à la fin, du premier au dernier, tous ceux qui m’ont laissé et que je n’ai de cesse d’avoir toujours aimé.

Je veux mes vœux, le fruit de mes croyances, ceux pour qui j’ai pleuré pour les abattements. Je veux le monde à venir pour ne plus espérer, n’avoir plus à rêver, l’indicible secret, la plus belle promesse. Je veux ce qui m’est dû pour l’avoir demandé plus ardemment encore en ayant éprouvé toute mon humanité. Je veux ma force celle qui naît de ma foi pour avoir cru en moi.

Je veux ce qui doit être et n’est pas encore fait. Je veux la fin d’un temps pour toujours seulement. Le grand commencement de l’univers entier. Je veux les arbres, les forêts, les oiseaux dans les branches, les chevaux dans les prés. Je veux une grande pluie pour abreuver la terre pour reverdir les champs, abattre les frontières et réunir les blancs.

Que l’horloge s’arrête sur le soleil levant. Les astres dans le ciel illuminant le monde, notre planète bleu aux mains de nos enfants�?Je veux la vie et la vie seulement pour se lever ensemble.

DIES IRAE

Dies irae est un chant appartenant au Requiem de Mozart. Requiem que j'entends depuis ma prime enfance, ma mère était danseuse, bercée dans la musique classique, toute musique classique est inhérente à ma vie.

D'ici, sur le vieux continent j'écoute à travers toi le cri de ce faucon. Source de bien d'histoires, de contes, de récits, témoin du ciel à la face des hommes. Lui aussi, connaît cette allégresse du vol, le sifflement du vent sous ses ailes, la douceur des nuages, lui aussi connaît le plongeon vertigineux ou lourd comme une pierre il tombera du ciel pour venir se nourrir d'une toute petite vie rampant dans la poussière.

J'aime que tu t'arrêtes, t'imaginant saisi sous les feuilles d'un pommier en entendant ce cri pour que tout disparaisse sachant dès lors, qu'il ne soit pas à vendre et qu'il n'ai pas de prix, sachant te taire pour écouter ce bruit qui fuse dans les airs, vif et plein de vie, au regard clair d'un faucon on pourrait voir la terre entière, chaque lopin de terre, la course de tous les hommes plus sauvages que lui, lui, le faucon comme un témoin du ciel... Garde en lui la mémoire de la vie. Du serpent au mulot saisis par une pierre aux griffes acérées voleront avec lui.

Les hommes n'ont rien compris... Esther