Salut
Je mijotais dans ma tête pour bien longtemps, une histoire, un poème...
C'étais en réaction à ce que mon amie a eu comme harcèlement lorsqu'elle travaillait à son marché...
Elle me conta qu'un "Macho" (homme néanderthal) la dévisageait inconfortablement, du haut jusqu'en bas une couple de fois avant de répondre à sa demande "... c'est quoi que je peux faire pour vous???..."
Après cette durée inconfortable, il la répond avec "... j'aimerais bien te manger le matin... ".....
Quand elle me conta cette histoire, avec une de ses amies, je lui ai répondu que le monsieur souffrait d'imagination négligeable...
J'ai offert en raccourcis ce que moi j'aurais dis si j'étais un homme "Macho" à la recherche d'impressionner une femme...
Voici la longue version de ce que j'aurais dit à une femme que j'ai le désir pour...
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La serviette de bain
Si je pouvais, je me réincarnerais dans ta serviette de bain...
Je n'aurais point besoin de te dérober dans mon imagination, car tu vas le faire en réalité...
J'espionnerais ton arrivée éventuelle dans mon festival de voyeur, le festin de te voir...
La première fois, je me rappelle très bien, j'étais dans le magasin... J'étais ta couleur préférer, et pour être sur de l'achat, tu m'as flatté avec tes belles mains, et cette première rencontre avec ton visage, un peu trop vite, car tu étais gêné de le faire en public...
Je resterais accrocher sur le bord du mur, proche du bain, en attente extasier de la prochaine rencontre...
Hélas!!! Fausses alertes, tu viens juste pour m'agacer les sens... Tu es juste venu pour une toilette, pour te maquiller, une brosse de cheveux, une brosse de dents, une déception immense...
Et oui, tu frôles juste assez avec tes mains la petite serviette du coin, jaloux que je peux être pour ce petit moment de tendresse envers ma cousine, en sachant très bien qu'elle ne soit que l'apéritif, moi je suis le plat principal, plutôt, le dessert...
Finalement le moment arriver, tu coules, tu remplis le bain... Mais tu es repartis... Ha!!! ... Tu n'avais qu'oublié les huiles parfumées que tu rajoutes à la sauce de ton étang de renouvellement...
Alors le spectacle t'en attendu, les pièces de tes vêtements, se détachent une après les autres, pour révéler de plus en plus la peau, ton corps, la forme réelle qui était caché sous l'uniforme...
Un petit regard dans le miroir, l'inspection routinier, "...est-ce que j'ai pris un peu trop de corps?..."
La descente dans l'étang, une certaine extase pour toi, un calme t'emporte, le détachement....
Encore un moment de jalousie, car la débarbouillette savonnée, lave ta forme des plus belles courbes arrondis...
L'impatience arrive à sa fin, car maintenant tu m'éprends par une main, puis deux, je suis à ta Mercie, et tu m'essuies sur toi, en commençant par ton beau visage, tes épaules, en passant partout�?Je me laisse caresser les coins tendre sensuels, oui tes seins si fins, tes belles jambes, le rond de ton cul... Passe deux fois si tu veux, oui, trois encore mieux...
Et pour finir, tu m'enrobes, par le haut de tes seins, prisonnier heureux, dans un petit temps merveilleux, jusqu'à ta chambre, d'où tu me prends à m'étendre, hélas, au sol, à côté de ton lit, oui c'est fini... Encore un beau petit temps m'attend à se tournant, car je te vois vêtir, de pièces fraîches cachant les points de désirs...
Alors je ne suis plus que pièce à laver, je suis envoyé dans le panier...
Le cycle repart, après mésaventure, de machine à laver à être sécher, je me retrouve au mur...
En vérité, j'aimerais être réincarner par tout ce qui te touchent, de la débarbouillette, au savon, à la serviette de toilette.... Je pourrais même parler du drap, de la couverte de ton lit, un collier, un parfum appliqué, oui ceci est ma folie...
Encore mieux, une pièce de linge en prison de ton corps... Ah!!! La robe d'été qui froisse ta peau, par le vent, ou ton propre mouvement...
Mais la serviette de bain, c'est mon désir, c'est le mien...
De te voir, nue près du miroir... De te toucher, ah! L'extase tant rechercher....
Et oui, d'être à ta Mercie.....
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PPPPPPPPPPiiieeeerrrreeeeeee