Salut
Une chose que je mijote dessus depuis un petit bout est la sensation, le sentiment que j'appelle "(essayer, réussir, planifier,etc..) de faire de quoi sans se faire attrapper"....
Cette sensation, et-ou sentiment, serait la cause de beaucoup de méfait qui existe dans le contexte humain.... Je crois que cette sensation existe aussi dans le contexte animal, mais je vais me borner sur le côté humain...
Si on décrit certains mals dans le contexte moralistique qui sont de petits à grandioses, exemples; de voler une sucette à son petit frêre, jusqu'à voler à grande échéance, d'être infidêle sexuellement à son partenaire jusqu'à de la pédophilie, etc..., une des choses qui peuvent avoir tous en commun est la sensation décrit plus haut....
Comme toute sensation, elle peut et devient addictive envers l'utilisateur....
Elle existe à tous âges, sexes, races, etc., même à travers des groupes d'humains....
Si je peut faire théorie sur cette sensation, je dirais qu'elle est une des plus provocatrices à l'instance d'un mal, des soit-disant mals....
Si vous n'êtes pas addicté, ou en avez pas besoin de cette sensation dans le moment, il y a surement un temps dans votre vie que vous l'avez essayé.... L'enfance et l'adolescence est la place qu'on l'essaye pas mal le plus, qu'on s'en donne à pousser ces limites ... Elle est comme omniprésente dans le gène humain...
À la grande base de cette sensation, elle existe en contrepartie d'une prohibition... "Tu n'as pas le droit de faire ceci".... "Il est illégale de faire cela"... et on pourrait assinuer que la curiosité est son grand confrêre... "Si j'essayais juste de faire cela qui m'est prohibiter pour voir ce qui vas arriver".... Et si on le réussit une fois, pourquoi pas l'essayer encore, "Hey, sa marche, je me suis pas fait attraper".... Et la future addiction marche en bonne partie comme toutes les addictions, on essayent encore mais à plus forte dose.... "Si je poussais un peu plus la note cette fois-ci"...
On peut prendre n'importe quel exemple de mal, et cette sensation peut être là collobératrice au méfait...
Prenons un exemple assez extrème de la pédophilie... Je pousserais la théorie que le sexe d'un humain adulte avec un humain de base âge n'est pas relié nécessairement hautement à l'acte sexuel en particulier pour l'adulte, mais plutôt pour la sensation de faire de quoi (qui est illégal, immoral, etc.) pis de pas se faire attrapper à le faire.... Et la pauvre victime est aussi embarquer partiellement avec cette sensation par le coupable quand ce dernier l'encercle dans sa vision qu'il ne faut pas le dire à personne, dans le secret de l'acte qui est prohibiter, avec toutes les excuses qui peuvent sans suivre....
Oui il y a toutes les autres sentiments, et sensations entremêler à tout ça, comme la culpabilité, etc., qui peuvent aussi être autant addictives, mais je pousserais l'idée que, spécialement pour le coupable de n'importe quel méfait, la sensation de faire de quoi qui est prohibiter doit avoir sa juste et grande valeur dans n'importe quel acte, ou pas mal proche, qui est soit-disant mal...
On redresse les actes prohibiter, des la jeune enfance, par toutes sortes de mesures, les plus connus sont la récompense et la punition, pour le dernier on culpabilise l'auteur à ne pas répêter le méfait... "Tu ne devrais pas frapper ton frêre, si tu le fais une autre fois voici les conséquences"... La plupart du temps les actes sont redressé par des conséquences, et la vie continue dans des actes-conséquences, qu'il y est punition ou récompense, qui soyent tantôt plus facile ou des fois plus difficile à corriger...
Cette acte-conséquence a pour certain un effet qui donne expérience à être meilleur à éviter les conséquences en produisant des actes qui ne sont pas revenus vers l'auteur des actes, et le fait de réussir doit surement donner, même par accident, un effet de récompense... Et vu qu'on éduque l'enfant à la récompense, ceci devient une sensation qui pourrait être pourchasser par ceux qui doivent avoir une tendance plus facile à être addicté à la sensation de faire de quoi sans se faire attrapper..... Alors indirectement on peut dire qu'on sème les graines de ceux qui sont aptent à faire du mal.....
Solutions???... Peut-être une plus grande vigilance au conséquence de "acte-conséquence" quand il s'agit d'élever des enfants... Ou tout simplement d'avoir un éveil à ceux qui sont plus aptent à la poursuite de la sensation décrit, ceux qui s'addictent plus facilement à "faire de quoi sans se faire attrapper".....
D'être aussi plus éveiller dans notre propre soi de la possibillité qu'on le soit aussi pris dans l'amour de cette sensation.... HAHAHA
Juste un petite théorie que je mijote pamis beaucoup d'autres.... HAHAHAHA
PPPPPiiiiiieeeerrrrrreeeeeeee