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| | From: 1168Rubis (Original Message) | Sent: 11/4/2006 9:40 AM |
Tu es mon âme soeur, la source jamais tarie La petite lueur qui illumine ma vie Sans toi je suis détruit, je ne suis plus qu'une ombre je sombre dans l'ennui, j'erre dans la pénombre Comme ces feuilles mortes se perdent au gré du vent Que le hasard transporte sans transgresser le temps Je me perds dans la nuit, Je vends mon âme au diable Toute émotion me fuit, je deviens misérable Je me sens inutile, je vis dans la douleur Des pensées futiles font renaître mes peurs Exhumant des démons surgissant du passé Qui au fil des saisons s'étaient évaporés La vie n'est que misère, souci, désillusion Que faisons-nous sur terre, quelle en est la raison Pourquoi donc le bonheur est-il si éphémère Génère autant de pleurs, infortunes et galères Les images du passé ressurgissent sans cesse Afin de nous rappeler nos moments de tristesse s'efforçant d'effacer ces instants délectables Que nous avions volés, souvenirs ineffables Pourquoi le temps s'égrene, impitoyable juge nous rappelle nos peines, nous pourchasse et nous gruge Comment peut-on bannir ce marchand de chagrin Pour enfin devenir maître de son destin J'aurais tellement aimé posséder ce pouvoir et pouvoir arrêter selon mon bon vouloir ces aiguilles qui sans fin marquent le cours des heures à un moment divin imprégné de douceur Quoi de plus merveilleux qu'apporter la tendresse Bien unique et précieux, rare moment de liesse Lorsque la dilection se mélange au magique Nous donne la sensation d'un rêve mirifique | | | |
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Ces mots qui te rassurent
Sans cesse je les sussure sans toi je ne pourrais Vivre, ça tu le sais Dans cette nuit voilée Me vient cette pensée Empruntons le chemin Entouré de jasmins Hissons bien grand les voiles Et suivons cette étoile Brisons cette barrière Sans regarder derrière Oublions nos contraintes Et laissons là nos craintes Envolons nous à deux Dans un monde merveilleux Où nous pourrons enfin Vivre notre destin | | | |
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Je suis obnubilé je crois qu'elle va venir Enfant je suis resté J'ai omis de grandir Encore maintenant je crois aux contes de fées Toujours je serai présent Pour toi ma bien aimée Mais pourquoi donc joue-tu Autant avec mon coeur Partons dans l'inconnu Laissons là nos frayeurs Laissons-nous emporter et gagner par l'ivresse De ces moments bercés D'infinie tendresse Bisous. Tim. | | | | |
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Je pense à toi en ce moment Je prends ma plume et te le dis Pour toi, j'éprouve des sentiments Pas seulement comme un ami Au-delà de la sympathie Qui nous rapproche, qui nous unit Pour moi, tu es plus qu'une amie Je te l'avoue, je te le dis Je voudrais que tu sois près de moi pour toujours Te serrer dans mes bras et te parler d'amour T'étreindre tendrement, ne jamais te quitter Ne serait-ce qu'un instant, ce serait l'éternité t'envahir de tendresse, t'inonder de baisers Me noyer dans l'ivresse, laisses-moi en rêver Je n'ai qu'un seul désir c'est d'être près de toi Je voudrais te le dire, les mots ne sortent pas En moi ils restent enfouis et chantent dans mon coeur Ils sont c'est inoui la chanson du bonheur Le soir quand je m'endors, j'aimerais tant sentir Le parfum de ton corps, laisses-moi le chérir J'aimerais pouvoir te serrer Tout contre moi avec tendresse Je voudrais pouvoir t'enlacer T'envelopper de mes caresses Pourquoi te quitterai-je alors Pourquoi te laisserai-je là Pour moi tu es plus qu'un trésor Je te suivrais dans l'au-delà Bisous. Tim. | | | | |
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Ton absence est douleur La souffrance est réelle Tu me manques mon coeur Ne te fais pas la belle Je ne pourrais survivre sans ta douce présence Avec toi je veux vivre Donnes-moi cette chance Je murmure souvent Cette douce sentence Soyons enfin amant Aimons-nous en silence
Bisous. Tim . | | | |
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Toujours cette magie des mots .
Des mots de toute sorte Attisent notre désir Des mots qui nous transportent Et qui nous font sourire Il y a les mots tendres
Qui sentent bon l'amour Que l'on voudrait entendre Ecouter chaque jour Ces mots qui nous consolent nous enlèvent nos pleurs Sont autant de paroles enjôlant notre coeur | | | | |
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Sur cette terre pavée de vérités futiles De lois inachevées et de pensées débiles A l'ombre des regards, des sourires imbéciles Cachés par le brouillard, isolés sur notre île La pluie s'abat soudain véritable déluge Jusqu'au petit matin balayant tout refuge Ecrasant les entraves, s'écoulant plein de charme Le long de mes joues haves ravinées par les larmes Mon âme est si fragile et mon esprit si tendre Mon désir est docile mais ma passion est grande Tu hantes mes pensées, tu habites mon coeur Tu es ma destinée, pour moi tu es bonheur J'ai envie de ton corps, de tes lèvres brulantes Te câliner d'abord d'une main caressante Te toucher, te parler, doucement, tendrement Et puis enfin t'aimer, je le voudrais vraiment Et quand arriverait l'indicible moment Que le plaisir viendrait véritable ouragan Quand l'émotion est vive, que l'ivresse nous prend nous serions deux convives au pays des amants. Bisous. Tim. | | | |
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J'aurais tellement voulu être à ses côtés Lui donner mon vécu, lui dire, lui murmurer Mais cette vie démente qui n'en fait qu'à sa tête Se plaît dans la tourmente, pour elle c'est une fête Pourquoi un tel silence, une telle rancoeur Une telle sentence qui me brise le coeur J'avais soif de crier, proclamer mon ennui J'ai eu beau protester, parler de mon dépit Pourquoi donc le destin est-il aussi cruel nous donne du chagrin sans offrir les ficelles nous plonge dans la peine avec tant de délice Toute bataille est vaine contre cette malice Quand donc sur cette terre peuplée d'hypocrites de fourbes et d'insincères dont le coeur est granit n'a-t'on pas le pouvoir qui force le verrou pour sortir du trou noir, de ce monde de fou
Bisous. Tim. | | | |
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A travers ses propos faits de discernements de mots tellement beaux, j'en oublie mes tourments C'est comme une chanson, te sors de la torpeur résonne à l'unisson, te réchauffe le coeur Ces mots qui sont autant de divines paroles Je le pense vraiment, ils sont ma parabole En ces moments cruels où mon âme est en peine Je vis dans l'irréel, j'aimerais que tu m'emmènes J'avais besoin de toi, je t'ai cherché longtemps Mais tu n'étais pas là , je t'ai cherché pourtant J'aurais aimé beaucoup t'avoir à mes côtés Je suis au fond du trou, ne me laisses pas tomber | | |
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Le jour où je l'ai "vue" pour la première fois Cette belle inconnue devint ma "chose" à moi Dés lors je l'ai aimé comme on aime vraiment Sans pouvoir la toucher, rien que des sentiments J'ai même dû me pincer lorsqu'elle m'a dit je t'aime Je croyais bien rêver, c'était un doux poème qui me bercait le coeur, m'offrant un doux supplice Elle était mon bonheur, mon jardin des délices Quand à l'aube du jour mon esprit se transporte Volant de bourg en bourg, va frapper à sa porte Doucement, tendrement, comme dans un rêve Elle est là , m'attendant, voudrais que je l'enlève Je la désire tellement au plus profond de moi Ca devient un tourment, un vrai chemin de croix J'espère simplement ne pas me réveiller Un jour en constatant que j'avais bien rêvé. Bisous. | | |
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Si j'avais eu vingt ans de moins Nous aurions pu ensemble, unir notre destin A cette pensée je tremble, gagné par le chagrin Nous aurions pu tout deux marcher main dans la main Vivre enfin heureux, sans peur du lendemain Construire un avenir bercé par la tendresse Vivre notre désir, nous saouler de caresses Chasser toute détresse, oublier ce qu'on craint Gagnés par cette ivresse, ce sentiment divin Qui fait qu'à un moment, on n'est même plus sur terre On est au firmament, particules de l'air Nous aurions pu c'est vrai, nous aimer sans lisière Sans souci du passé, reculant les barrières Méprisant les rumeurs, négligeant les regards Profiter du bonheur, même s'il vient un peu tard Nous laisser chavirer, être enfin nous-mêmes C'eut été fusionner avec celle que j'Aime. Nous endormir repu par ce flots de délices Envoûtant nos corps nus, c'est pour moi un supplice De savoir que jamais, je n'aurai cette chance De vivre à tes côtés, pour moi, quelle souffrance. Bisous . Tim . | | | |
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Dans cette vie hostile, perpétuel combat Où il n'est point facile d'occulter ses tracas Aux frontières du mensonge, gorgées d'illusions Je vis un mauvais songe, bien cruelle déception Un déchirant refrain, une chanson furtive Les mots sont assassins et la douleur est vive Imposent leurs contraintes, résonnent à peine audibles Déposent leurs empreintes aux stigmates sensibles Pourquoi cette colère et ce ressentiment Ce retour en arrière, ce futur lancinant J'en suis devenu blème, pourquoi ce châtiment Ce cruel anathème brisant l'enchantement Tu étais l'étincelle illuminant ma vie La flamme perpétuelle que jamais on n'oublie Tu hantais mes pensées, étais pour moi la sève Nourrissais mes idées, je nageais en plein un rêve La tendresse a perdu un combat héroïque C'est un bien lourd tribut, une blessure psychique En cause des chimères, des volontés forcées Dans cette jungle sévére de vice habitée Bisous . Tim . | | | |
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J'aimerais avec toi Faire un bout de chemin Te serrer contre moi En te tenant la main Et ce bout de chemin J'aimerais tellement Qu'il nous emmène loin Qu'il dure éternellement Je ne cesse de penser A toi à tout moment Je ne peux m'empêcher De t'aimer tendrement Lorsque tu n'es pas là Tu me manques tellement Que je suis au plus bas Sans toi, je suis mourant
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Dans ce monde cruel aux illusions qui volent Je me repais sans cesse de tes douces paroles Savoure ton parfum, ébauche des desseins Et d'un regard lointain éloigne l'incertain Des couleurs harmonieuses illuminent tes yeux Libèrent dans mon coeur un désir délicieux Des rêves merveilleux tapissent mes pensées révélent dans mes songes les envies caressées Une discrète émotion, un flot de sentiments Une secrète pulsion aux mille et uns accents Dessinent des refrains sur tes prunelles humides chantonnent au matin des aubades splendides Etendue sur ta bouche une larme soupire Surtout ne l'essuie pas, elle est mon souvenir J'ai laissé l'eau sacrée doucement me bénir Et léché cette goutte avant de m'endormir Bisous . Tim . | | | |
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Lorsque dès le matin, Tu ouvres tes doux yeux, J'aime te prendre la main, Et te faire cet aveu. Je ne me lasserai, jamais de ta présence, toujours je t'aimerai, Tu es source de mes sens. Je voudrais pour toujours, que nous restions amants, et conjuguer l'Amour, à tous les temps présents. Enfin pour en finir, Simplement je dirai, Avec toi je désire, vivre l'éternité. Bisous . Tim .
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Au début du chemin, Seigneur, nous étions deux, C'était, main dans la main que nous étions heureux. Chemin de communion, parfois chemin de Croix Unissant nos peines et partageant nos joies. Elle est venue, la mort, me voler ma tendresse Impuissante devant elle je te crie ma détresse. Longue est la route qu'il faut seul entreprendre. Et toi, qui es Amour, tu sauras me comprendre. Tu nous dis que l'oiseau ne sème ni ne moissonne, Et que le lis des champs s'habille mieux que personne. S'il est vrai qu'a tes yeux j'ai encore plus de prix Protège ce qu'à nous deux nous avions entrepris. Et donne-moi la force de vivre pleinement Regardant devant moi et marchant comme avant. Augmente en mon cœur l'amour et l'espérance, Ne laisse pas ma vie sombrer dans la souffrance Car la vie n'a de prix que celui de l'amour Et notre amour par toi, est vivant pour toujours. | | | |
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