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| | From:  Sanctus_3 (Original Message) | Sent: 4/6/2007 7:47 PM |
Selon la légende du Graal, transmise par Chrétien de Troyes, Joseph d'Arimathie recueillit dans la coupe utilisée au cours de la Cène, le sang qui coulait du flanc transpercé de Jésus crucifié. Il récupéra également la lance ensanglantée qui avait causé cette blessure. 
Après bien des péripéties, ces objets furent confiés au roi Titurel. Celui-ci construisit un château sur une haute montagne (le mont Salvat) et, entouré de saints et chastes chevaliers, il assura la garde des précieuses reliques. Le château du Graal devint un centre spirituel à partir duquel rayonnèrent de puissantes influences bénéfiques. 
Cependant, plus bas dans la vallée vivait un chevalier noir, Klingsor, qui n'était pas chaste mais qui voulait devenir chevalier du Graal. Le roi Titurel voyant son cœur rempli de mauvais désirs lui refusa son admission. Klingsor décida alors de se venger et il jura que s'il ne pouvait pas servir le Graal, le Graal le servirait. 
Le roi Amfortas, qui avait succédé à son père Titurel décida de combattre Klingsor. A cette fin, il s'arma de la sainte lance. Mais Klingsor évita la confrontation et il lui fit rencontrer Kundry, une femme resplendissante de beauté.
Amfortas succomba finalement aux charmes de Kundry et, tandis qu'il l'enlaçait, Klingsor surgit, s'empara de la sainte lance et blessa Amfortas désarmé. Celui-ci fut sauvé par des chevaliers accourus à son secours, mais il resta affligé d'une blessure qui ne pouvait pas guérir, et la sainte lance était maintenant aux mains de Klingsor. Amfortas souffrait atrocement de sa blessure, à la fois physiquement et moralement. Pourtant, il existait une prophétie disant qu'il pourrait être guéri par "un chaste fou, illuminé par la pitié". Mais le roi pensait que la mort viendrait avant que cette occasion se présente. 
Un jour, Parsifal, un jeune ingénu au cœur pur, arriva par hasard au château du Graal. Parsifal, dont le père était mort en combattant au loin, avait été élevé par sa mère dans une épaisse forêt afin de le tenir à l'écart de l'agitation du monde et des dangers de la guerre. Parsifal assiste de loin à la célébration du service du Graal, dont l'objet est de soutenir l'ardeur des chevaliers en les incitant à mener une vie pure et secourable. Le roi Amfortas redoute cette cérémonie car lorsqu'il découvre le saint calice (le Saint Graal) sa blessure recommence à saigner douloureusement. Sans comprendre pourquoi, Parsifal, ému de compassion, ressent la terrible souffrance d'Amfortas. 
Les chevaliers pensent que Parsifal pourrait bien être celui qui serait capable d'accomplir la prophétie. Parsifal, en s'en allant, se dirige vers le château de Klingsor. Celui-ci le guette et se méfie de lui, car c'est un fou, un fou ignorant la sagesse du monde. Le souvenir de l'atroce souffrance d'Amfortas lui vient à l'esprit et le calice du Graal lui apparaît. Klingsor arrive armé de la sainte lance qu'il jette avec force sur Parsifal. Mais la pureté de Parsifal le protège et la lance plane inoffensive au-dessus de sa tête. Le chaste Parsifal triomphe en s'emparant de la lance de Longin et il fait avec elle le signe de la croix. Le château et le jardin magique de Klingsor tombent aussitôt en ruines. | | | 
| Pendant des années, Parsifal va parcourir le monde et il rencontrera de nombreuses difficultés. Jamais, cependant, il ne fera usage de la sainte lance pour combattre un ennemi ou pour subvenir à ses besoins personnels. Il ne s'en servira que pour soulager des affligés ou guérir des malades.
Après toutes ces tribulations, il arrive un jour au château du Graal. Cette fois-ci il est accueilli avec joie par les chevaliers. Parsifal guérit la blessure du roi Amfortas avec la sainte lance dans l'enchantement du vendredi saint.
Parsifal reste définitivement au château du Graal. Il succède à Amfortas et il devient le roi et le gardien du Graal. 
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Le sang de Jésus n'était il pas en fait sa descendance?
En effet Joseph d'Arimathie serait parti en Provence avec Marie Madeleine et sa fille, Tamar, première née de Marie Madeleine et de Jésus (Yeshua); deux autres enfants mâles seraient nés ensuite.
Ce qui nous permet de supposer que Jésus n'est pas mort sur la croix et faisait partie du voyage! (d'où le culte de sainte Marie Madeleine très implantée en Provence).
Le fameux Mont Salvat ne serait il pas Montségur où les Cathares (détenteurs probables de bien des secrets) furent brulés?
Merci en tout cas pour ces informations très riches.
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La quête du Graal a inspiré de nombreux auteurs depuis plusieurs siècles surtout au cours du Moyen Âge, donnant naissance à un grand nombre de légendes. 
Les histoires mettant en scène le Graal vont dans de multiples directions. Dans les années 1980, Michael Baigent et Richard Leigh donnent une interprétation allégorique toute personnelle du Graal dans leur essai L'Énigme sacrée. Selon eux, le Graal serait une métaphore pour désigner une descendance cachée qu'aurait eu Jésus, du fait d'une supposée union avec Marie-Madeleine. Saint-Graal serait en l'occurrence une déformation de Sangréal signifiant "sang royal", dans le sens de "lignée royale". Ce pourrait être aussi, par métonymie, Marie-Madeleine elle-même en sa qualité de "porteuse" de cette descendance. 
Cette interprétation très romanesque reprise par le Da Vinci Code a suscité beaucoup d'intérêt. Le risque de désinformation: Parmi les dizaines de millions de lecteurs du roman, beaucoup ne vont pas faire la part des choses et il est important de ne pas tomber dans un contre-Evangile. Il faut prendre le livre de Dan Brown comme un roman passionnant, mais pour ce qui est de la théorie évoquée on ne peut la prendre pour argent comptant car il n'existe aucune preuve irréfutable qui la supporte. De ce fait, on peut se demander si l'ampleur de la polémique ne peut pas engendrer un courant de croyance qui dépasserait largement la portée du roman. 
Bien des gens semblent encore aujourd'hui mobilisés par cette recherche du sacré. Cependant beaucoup semblent adhérer à cette thèse faisant passer le Christ Jésus pour un simple mortel, ce qui permet de rabaisser un Être christique à notre niveau de compréhension. 
Il faut essayer de comprendre qu'il s'agit du Christ, le Fils: c'est un Être divin qui n'appartient pas à notre système d'évolution, comme le mentionne le prologue de l'Evangile de Jean. Il y a deux mille ans environ, Christ est descendu de la sphère solaire sur la Terre pour entrer dans un corps humain. C'est la seule fois de son existence cosmique que le Verbe s'est fait chair et a habité parmi nous.(1) L'association de Montségur (bastion cathare) au Graal est en fait due à une confusion étymologique : Dans son Parzival, Wolfram von Eschenbach place le château du roi Pellès sur le Munsalwäsche, et les allemands croyaient à tort que Montségur en était la signification et le lieu. La traduction précise de Munsalwäsche est Mont du Salut, et non "Montségur". 
Références: (1) Pierre Lassalle. Initiés et mystères. Boucherville: Editions de Mortagne, 1997. http://www.prieure-de-sion.info/revelations.php http://www.davinci-codex.com/actu/-Jesus-et-Marie-Madeleine-.html |
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| | | From: tilyon | Sent: 4/13/2007 7:58 PM |
Christ est descendu de la sphère solaire sur la Terre pour entrer dans un corps humain. C'est la seule fois de son existence cosmique que le Verbe s'est fait chair et a habité parmi nous.(1) Quand même bizarre et douteux qu'il soit entré dans un seul corps humain. Mais c'est vraiment une belle histoire qui en impressionne encore plusieurs. À mon avis, le Verbe se fait chair continuellement sinon nous n'existerions plus. |
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Le Temps est l'un des premiers éléments créés. La manifestation est cyclique, l’univers apparaît et disparaît, ce depuis des temps immémoriaux. A l’intérieur même de cette manifestation, différents cycles existent. A chaque manvantara, l’univers passe (comme pour les autres cycles mais à des niveaux différents) par les phases de création, de préservation et de destruction. 
D'après la cosmogonie hindoue, Brahma crée l'univers chacun de ses jours puis le réintègre en lui chacune de ses nuits, sous forme de potentialité. En somme, en utilisant le vocabulaire de la cosmologie actuelle, chaque jour de Brahma commence par un Big Bang et se termine par un Big Crunch. Mais, à la fin du cycle de vie de Brahma, l'univers se résorbera dans l'ineffable esprit du monde.
Suivant cette cosmogonie, nous sommes entrés dans la période du Kali Yuga. Le système des quatre yugas rappelle les quatre âges de la Grèce antique, et ils partagent parfois les mêmes dénominations d'âge d'or, d'argent et de fer, que l'on retrouvait dans la Perse antique, ce qui pourrait indiquer une origine commune.
Essayez d'imaginer la puissance dont peut disposer un Ange plus évolué qu'un être humain. 
Et pourtant, il y a huit autres hiérarchies d'entités spirituelles plus évoluées que celles des anges! 
Et encore au-dessus de ces sublimes entités spirituelles, se trouve la Trinité d'où vient le Christ ou le Logos. 
La clairvoyance, l'expérience mystique ou la foi permettent de mieux comprendre quelle difficulté représente l'Incarnation de cette haute entité qu'est le Christ. 
Tous les grands Initiés ont apporté un enseignement visant au développement spirituel de l'humanité. Mais le plus important dans la Venue du Christ n'est pas l'enseignement qu'il a pu transmettre: c'est ce qu'il a vécu, c'est une Vie nouvelle qu'il a transmise à l'humanité. Il lui offre une nouvelle impulsion, une nouvelle force afin d'entamer la remontée vers le monde spirituel. 
Référence: Pierre Lassalle. Initiés et mystères. Boucherville: Editions de Mortagne, 1997. |
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Merci pour ces infos que je connais bien. Mais pourquoi Otto Rahn mandaté par le Reich est-il venu en pays cathare? Quant à l'énergie christique, ne s'était-elle pas déjà manifestée en Krishna (Christ), en Bouddha et dans le mithraïsme, entre autres? L'histoire de Jésus qui serait né dans une étable... est une reprise d'un mythe beaucoup plus ancien... En fouillant un peu on arrive en Egypte, et en approfondissant encore, à Sumer... 
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Otto Wilhelm Rahn (1904-1939) Il y a eu beaucoup de spéculation autour d'Otto Rahn et de sa recherche. Le conte germanique médiéval de Parzival, rétabli dans les années 1800 par les opéras mystiques populaires de Wagner, inspira Otto Rahn dans sa recherche. Il a rassemblé une série d'indices glanés d'une étude historique des Cathares et de la poésie de Wolfram von Eschenbach, un chevalier templier du treizième siècle. 
Conduit par son intérêt profond pour les légendes des Cathares et du Graal, Rahn a parcouru la France, l'Espagne, l'Italie et la Suisse de 1928 à 1932. Durant l'été 1929, Otto Rahn a visité la région du Languedoc de la France méridionale. Il a exploré le temple-forteresse ruiné des Cathares de Montségur aussi bien que les grottes environnantes de la montagne. 
Dans le Languedoc, la ville de Carcassonne, la montagne sainte de Montségur et l'église de Rennes-le-Château sont des endroits reliés au savoir des Cathares et c'est là que toutes les légendes du saint Graal semblent converger.
La possession du Graal a toujours été le rêve des Ordres chevaleresques. Les chevaliers de la table ronde du Roi Arthur, les Templiers, et même les chevaliers Teutoniques ont cherché le vase mystique. Mais Otto Rahn a cru qu'il pourrait triompher là où les siècles de recherches avaient échoué.
Il avait étudié la géométrie sacrée de Montségur, ses orientations au lever de soleil et son rapport avec d'autres endroits sacrés, et avait découvert sous terre des passages secrets, où il avait pressenti que le trésor était caché. Lors de réunions avec des gens du pays (on dit qu'il parlait la langue locale, le Provençal, couramment) Otto Rahn recueillit tout sur le sujet des Cathares et du Graal. 
Profondément dans les grottes de Sabarthez, Rahn trouva des chambres aux murs couverts de symboles caractéristiques des chevaliers templiers, à côté des emblèmes des Cathares. 
Ceci tend à confirmer l'hypothèse d'historiens mystiques: les chevaliers Templiers et les Cathares auraient été étroitement associés. Une image intrigante qui avait été découpée dans le mur en pierre d'une grotte était clairement un schéma d'une lance. Cette description suggère immédiatement la lance de Longin. 
Ses ouvrages: La croisade contre le Graal et la Cour de Lucifer sont pleins de perspicacités et de liens historiques importants. 
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| | | From: BAYA | Sent: 4/28/2007 8:26 AM |
Je suis moi même issue de cette belle région... Otto Rahn était missionné par le Reich et cherchait le Vrill (force de l'univers permettant l'anti gravitation, il paraît d'ailleurs que les Allemands avaient des "Haunebus", vaisseaux spatiaux...) Il s'est soi disant "suicidé" à un moment de désaccord éthique important avec le Reich dans lequel il occupait une fonction dans l'armée SS. Quel était donc ce secret tant jalousé des cathares et qui leur a valu une si douloureuse extermination? Blanche de Castille les désignait par "caput dragonis" lorsqu'elle décida leur condamnation.... Les Templiers qui apparemment les protégeaient dans un premier temps les auraient ils lachés ensuite pour finir eux mêmes un peu plus tard sur le bûcher? Quoi qu'il en soit une partie essentielle de notre histoire est inconnue et l'autorité catholique romaine a muselé depuis des siècles la vérité, tellement que même actuellement nous n'arrivons pas à la décrypter... Il faut en déduire que cela aurait empêché son règne et que le contenu de cette vérité devait être oh combien juste! Transmutation de l'être et de la matière? D'où l'intervention et ses effets physico chimiques de l'énergie christique (de par les cycles de l'univers et de la rotation tous les 26000 ans de notre voie lactée par rapport à Alcyone, un alignement particulier permet la réception d'une énergie photonique de conscience élevée...) Il n' y a qu'à étudier la civilisation occitanne à cette époque où humanisme et liberté, égalité de la femme entre autres régnaient... Espérons que nous sommes proches -enfin- de sortir des limbes. Ils disaient que "refleurirai le laurier" et d'après leur date annoncée cela correspond à notre époque!  |
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Les Templiers ont voulu combler le fossé qui séparaient les gnostiques des chrétiens et rêvaient de pouvoir abolir tous les schismes. Les chrétiens d'Orient et d'Occident auraient directement communiqué entre eux. Pour effectuer cette grande oeuvre, il était néanmoins nécessaire que le pape renonçât à son pouvoir temporel pour une autorité uniquement fondée sur l'esprit et sur la connaissance. C'est ainsi que les Templiers furent aux côtés de Philippe le Bel quand celui-ci s'opposa à l'oeuvre du Pape: ils expliquèrent au roi de France en quoi consistait sa vraie mission. 
Mais Philippe le Bel s'épouvanta devant le pouvoir papal: c'est pourquoi il trahit les Templiers pour faire alliance avec la papauté. Philippe le Bel consentit, pour prix de son absolution, à condamner les Templiers. 
Ceux qui parvinrent à échapper au bûcher furent recueillis par les compagnons bâtisseurs.
Quant aux Cathares, ils avaient choisi une voie plus mystique. Les Cathares se considéraient comme les seuls vrais disciples des apôtres car ils adoptaient le modèle de vie, les rites et les sacrements, des premières communautés chrétiennes. Ils s'appuient principalement sur les enseignements du Nouveau Testament, leur unique prière étant le Notre Père. La théologie cathare provient d'un travail de recherche scripturaire, centré sur l'Évangile selon Jean. 
Tout en étant chrétiens, les cathares interprètent différemment certains articles de foi et contestent certains points de la doctrine de l'Église romaine. 
Ils n'attachent pas d'importance aux églises bâties qui ne sont pas pour eux les seuls lieux du culte car la parole du Christ peut être enseignée partout où se réunissent les fidèles. 
Aussi, la croisade des Albigeois devint une guerre de conquête au profit du Roi de France qui pouvait enfin imposer son pouvoir dans cette riche région au sud de la Loire. |
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Merci pour ces précisions  . Mais je pense qu'en plus des raisons politiques et économiques évidentes, des raisons plus spirituelles existaient aussi: les unes n'excluent pas les autres! Il paraît que certaines forteresses cathares sont construites et configurées en fonction de constellations correspondantes (Arcturus par exemple...) tout comme l'étaient semble-t-il les lieux de culte celtes et pré-celtiques. Etait-ce une façon "magique" de capter les énergies cosmiques par analogie: "ce qui est en haut est comme ce qui est en bas" (Hermès Trismégiste)? Sachant que toute magie est une connaissance de la nature non encore acquise ou ignorée... L'intérêt pour la culture cathare se manifeste de plus en plus et pourtant, bien peu de nos jours prennent la peine de la connaître. Et pourtant quel âge d'or dans cette région et surtout à ces époques. Ceci dit, il paraît que Philippe le Bel aurait demandé à l'Ordre du Temple, qui avait pour mission d'unir l'Orient et l'Occident (ils ont échoué et nous sommes en plein dedans cet antagonisme de société avec tous ses dangers), d'être accepté comme membre, et que cela aurait été refusé? Enfin, pourvu que reverdisse le "laurel"... |
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De : BAYA (message 10) Quel était donc ce secret tant jalousé des cathares et qui leur a valu une si douloureuse extermination? Transmutation de l'être et de la matière? D'où l'intervention et les effets physico-chimiques de l'énergie christique (de par les cycles de l'univers et de la rotation tous les 26000 ans de notre voie lactée par rapport à Alcyone, un alignement particulier permet la réception d'une énergie photonique de conscience élevée...) 
De : Orcrist À mon avis l'énergie christique est en relation avec une qualité d'éveil maximal de la conscience qui amène à se renier soi-même pour accomplir la Volonté du Tout. Cette Volonté du Tout est l'Unité, la Cohésion et l'Intégration de toutes choses. Accomplir cette Volonté exige énormément de Force et de Sagesse dans l'action. En vérité, de très rares Initiés développent cette Force et parviennent à cette Sagesse dans leurs accomplissements. 
La Quête du Graal inaccessible, symbolise au plan mystique qui est essentiellement le sien, l'aventure spirituelle et l'exigence d'intériorité, qui seule peut ouvrir la porte de la Jérusalem céleste où resplendit le divin calice. Il est tout près et on ne le voit pas. C'est le drame de l'aveuglement devant les réalités spirituelles, d'autant plus intense qu'on croit plus sincèrement les rechercher. 
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