Dans la septième et dernière vision de l'Apocalypse, saint Jean contemple la Jérusalem céleste et le renouvellement parfait du monde, nous présentant ainsi l'accomplissement de l’homme et de toute la création. L'Apocalypse se termine donc sur la « promesse » d’un bonheur éternel et sur l’assurance que les plans divins seront pleinement réalisés si l’homme y prête son concours et s’il participe à l’édification de ce monde nouveau. En effet, si Dieu créa le monde unilatéralement, c’est avec sa participation volontaire et libre qu’Il procédera à sa re-création.