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General : Pape Benoît XVI  
     
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From: MSN Nicknamemariemadeleine  (Original Message)Sent: 5/26/2005 8:08 PM
Le Pape Benoît XVI : Ennemi du Jihad
24 avril 2005 - De Robert Spencer - FrontPageMagazine.com | Traduction française de Simon Pilczer, Volontaire de l’IHC

En choisissant le cardinal Joseph Ratzinger pour succéder au Pape Jean Paul II sous le nom de Benoît XVI, l’Eglise catholique a envoyé un signal pour la survie de l’Europe et de l’Occident.


« L’Europe sera islamique d’ici la fin du siècle » a prédit l’historien Bernard Lewis il y a peu de temps ; cependant, si l’on en juge d’après les écrits du nouveau Pape, il n’est pas enclin à voir les choses avec optimisme quant à cette transition. Sur une raison, le nouveau Pape semble conscient du grave danger auquel les Européens sont confrontés : il a appelé l’Europe à retrouver ses racines chrétiennes « Si elle veut vraiment survivre ».

Car alors que son prédécesseur embrassa le coran et poursuivit une ligne constante de conciliation à l’égard du monde islamique, malgré de nombreuses provocations et attaques contre les catholiques dans les pays musulmans, le nouveau Pape Benoît XVI, tout en n’étant pas moins charitable, a été un peu plus réservé sur la réalité de la façon dont l’Islam met en cause l’Eglise catholique, la chrétienté, et même l’Occident post-chrétien. Il a parlé ouvertement des droits des convertis de l’Islam au christianisme, qui vivent sous sentence de mort dans les pays islamiques et vivent de plus en plus dans la peur même en Occident. Il a même donné son approbation aux chrétiens prosélytes à l’égard de Musulmans - pratique qui fait enrager des Musulmans et est illégale dans beaucoup de pays islamiques.

Le nouveau Pape a critiqué la réticence de l’Europe à reconnaître ses racines chrétiennes par crainte d’offenser la présence rapidement croissante de l’Islam et sa présence de plus en plus influente dans les pays européens - présence qui, comme l’historienne Bat Ye’or le démontre dans son livre « Eurabia », a été activement encouragée et facilitée par les dirigeants européens depuis trois décennies. « Ce qui offense l’Islam », a déclaré le cardinal Ratzinger, « est l’absence de référence à Dieu, l’arrogance de la raison, qui provoque le fondamentalisme ». Il a critiqué le « multiculturalisme » qui est si constamment et passionnément encouragé et soutenu », parce que « parfois, il revient à l’abandon et au désaveu de ce qui est la nôtre ».

Il oppose la résurgence moderne actuelle de l’Islam avec la débilitation de l’Europe. Dans la vieille Europe, il a déclaré, « nous allons vers une dictature du relativisme qui ne reconnaît pas quelque chose comme définitif et tient pour sa plus haute valeur son propre ego et ses propres désirs. « L’Islam, d’un autre côté, est tout sauf relativiste : « La renaissance de l’Islam est due en partie à la nouvelle richesse matérielle acquise par les pays musulmans, mais surtout par la conscience qu’il est capable d’offrir un fondement spirituel valide pour la vie de son peuple, un fondement qui semble avoir échappé des mains de la vieille Europe ».

Dans la ligne de son appel aux européens pour recouvrir leur héritage spirituel, le nouveau Pape s’oppose à l’entrée proposée à la Turquie dans l’Union Européenne : « La Turquie, a-t-il déclaré, a toujours représenté un continent différent, toujours en opposition avec l’Europe ». Mais son objection n’est pas seulement géographique - en fait, il s’oppose aux excès de simplifications géographiques qui sous-tendent la soumission de l’UE à la Turquie : « L’Europe, a-t-il expliqué, a été fondée non pas sur la géographie, mais sur une foi commune. Nous devons redéfinir ce qu’est l’Europe, et nous ne pouvons nous arrêter au positivisme ». Une Europe nouvellement définie comme en un certain sens une entité chrétienne peut scandaliser les laïcs, mais une Europe laïque et relativiste s’est révélée jusqu’�?présente impuissante à l’encontre de l’islamisation de l’Europe - en dépit de la menace que l’islamisation fait peser sur les notions occidentales chéries d’égalité des droits et de dignité de tout peuple.

L’Europe, a écrit le nouveau Pape, « semble être au début de son déclin et de sa chute ».

Il peut être trop tard, comme le croit Bat Ye’or, pour arrêter le déclin et la chute. Cependant, la première qu’un médecin fait quand il traite une maladie est d’identifier le problème. Aucune guérison ne peut provenir d’une erreur de diagnostic. Il est encourageant de voir que le Pape Benoît XVI a déjà, dans différents discours et écrits avant son accession à la papauté, osé parler plus clairement de la menace que l’Islam pose à la civilisation occidentale que son prédécesseur - avec tous ses multiples dons remarquables - n’est vraiment parvenu à le faire.

A la fin de 2003, le magazine semi-officiel des Jésuites ‘Civita Cattolica�?s’est éloigné de la politique de Jean Paul II à l’égard de l’Islam et a publié une critique virulente des mauvais traitements que les Chrétiens endurent dans les sociétés islamiques. Cela a représenté la première indication que quelques officiels catholiques reconnaissaient les dimensions du conflit religieux que les jihadistes mènent contre les Chrétiens et d’autres à travers le monde. La ‘Civita Cattolica�?a souligné que « depuis près d’un millénaire, l’Europe était sous la menace constante de l’Islam, qui a mis deux fois sa survie en danger sérieux. ». Aujourd’hui, à travers le terrorisme jihadiste et la démographie, l’islam menace encore la survie de l’Europe - et il semble qu’il y ait un nouveau Pape qui en a pris conscience. Peut-être la résistance est-elle juste en train de commencer en Europe.


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http://www.frontpagemag.com/Articles/ReadArticle.asp ?ID=17772
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* M. Spencer est le Directeur de « Jihad Watch », et l’auteur de « Vers des Soldats islamiques : comment le jihad menace encore l’Amérique et l’Occident » (Regnery Publishing - compagnie associée à HUMAN EVENTS) et « Islam dévoilé : questions troublantes au sujet de la foi croissant le plus vite au monde » (Livres Encounter) ; et le rédacteur de la collection d’essais « Le Mythe de la tolérance islamique : Loi islamique et non-musulmans (Prometheus). Il travaille à un nouveau livre, le Guide politiquement incorrect de l’Islam et des Croisades ( sous presse chez Regnery).


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 Message 2 of 2 in Discussion 
From: MSN NicknamemariemadeleineSent: 1/29/2006 6:50 PM
 
Benoit XVI : « l'Islam est bloqué. Il est bloqué avec un texte qui ne peut pas être adapté. » - Le Pape met les points sur les i, et rompt le politiquement correct qui veut mettre l'islam sur le même plan que le Christianisme ou le Judaïsme. Benoît XVI est clair, l'islam n'est intrinsèquement pas réformable ! Cette clarification est cruciale, fondamentale et même révolutionnaire car elle marque une rupture nette et sans bavure avec la tiédeur (pour ne pas dire l'aveuglement) à laquelle certaines élites catholiques européennes nous avaient tristement habitué face au péril musulman... voilà aussi qui pourrait bouleverser dans le bon sens - celui d'une nouvelle prise de conscience chez les Chrétiens et les Européens de la menace qui pèse sur la civilisation occidentale - le paysage religieux et politique européen, à terme, et qui sait, peut être au bout trouver le salut de l'Europe...

Le pape et le Coran
par Daniel Pipes
New York Sun
17 janvier 2006

Extrait de la version originale anglaise : The Pope and the Koran

L'on s'attend à ce que l'Islam et les Musulmans constituent une priorité pour le pape Benoît XVI, mais il est resté très discret sur ce thème au cours des neuf premiers mois de son pontificat. Un témoignage récent, cependant, apporte d'importantes indications sur sa réflexion actuelle.

Le père Joseph D. Fessio, évoqua lors d'un Hugh Hewitt Show les détails d'un séminaire sur l'Islam auquel il participa avec le pape en septembre 2005. Les participants purent se familiariser avec les idées de Fazlur Rahman (1919�?988), un théologien libéral né au Pakistan, qui soutenait que si les Musulmans réinterprétaient à fond le Coran, l'Islam pourrait se moderniser. Il insistait sur la nécessité de mettre l'accent sur les principes fondant les législations coraniques telles que le djihad, la mutilation des voleurs ou l'autorisation de la polygamie afin de modifier ces coutumes et de les adapter aux besoins actuels. Si les Musulmans font cela, concluait-il, ils peuvent prospérer et vivre en harmonie avec les non-Musulmans.

Le pape Benoît XVI a réagit vivement à cette argumentation. Il avait l'habitude de diriger de tels séminaires annuels depuis 1977, mais avait toujours laissé aux autres le soin de parler avant lui, attendant la fin des débats pour les commenter [consensuellement]. Mais le Père Fessio se souvient avec surprise qu'en entendant l'analyse de Fazlur Rahman, cette fois le pape n'a pu se contenir.

Citation:
Dans mon souvenir, c'était la première fois qu'il fit une déclaration immédiate. Et je reste abasourdi par sa vigueur (�? Le Saint Père, à sa manière en même temps sereine et claire, déclara qu'en fait, il y avait un problème fondamental dans cette analyse parce que, dit-il, dans la tradition islamique, Dieu a donné sa parole à Mahomet, mais il s'agit d'une parole éternelle. Ce n'est pas la parole de Mahomet. C'est là pour l'éternité juste comme c'est là aujourd'hui. Il n'y a donc aucune possibilité de l'adapter ou de l'interpréter.


Cette distinction essentielle, poursuivit le pape Benoît XVI, rend l'Islam différent du Christianisme et du Judaïsme. Dans ces deux dernières religions, « Dieu a agi à travers ses créatures. Ainsi, ce n'est pas uniquement la parole de Dieu, c'est aussi la parole d'Isaïe; pas uniquement la parole de Dieu, mais aussi celle de Marc. Il utilisa ses créatures humaines et leur inspira la vocation de répandre sa parole dans le monde. » Les Juifs et les Chrétiens « peuvent prendre ce qui est bon » dans leurs traditions et façonner cela. En d'autres termes, il y a « une logique intérieure dans la Bible chrétienne qui permet et exige de l'adapter et de l'appliquer à de nouvelles situations ».

Alors que la Bible est, pour Benoît XVI, la « parole de Dieu nous parvenant à travers une communauté humaine », il considère le Coran comme «une chose tombée du Ciel, qui ne peut être ni adaptée ni appliquée». Cette immuabilité a de lourdes conséquences : elle signifie que « l'Islam est bloqué. Il est bloqué avec un texte qui ne peut pas être adapté. »