Justement en ces temps d'élections,
est-il besoin de rappeler que les plus coupables
sont finalement ceux qui croient aux promesses.
Les campagnes électorales en sont farcies.
C'est à chaque fois la surenchère pour
celui qui razera plus gratis que l'autre !
Espérons qu'avec le taux de participation exceptionnel,
cette fois ci les Français aurons bien analysé
qui sont les candidats qui leur sont les plus favorables.
Bref, certainement pas la droite !

L

 

Ben c'est évident : chacun fait sa petite cuisine électorale. Travailler plus pour gagner plus, est le discours de la droite traditionnelle qui parle d'heures supplémentaires à ceux qui triment déjà pour des petits salaires. Cela revient tout bonnement à aiguiser les tensions sociales à travers le pays. Il serait évidemment bien plus sain d'envisager un réel partage du travail en généralisant les trente cinq heures et si possible, au plus tôt passer au trente deux heures. Voilà où se situerait le vrai changement et le progrès social. Quand j'y pense et que ça crève les yeux, j'ai du mal à retenir ma colère devant des travailleurs lobotomisés qui se font exploiter honteusement par les capitalistes libéraux. Moi j'aurai voté pour Arlette ou le postier Besancenot. Dommage que je soit un être virtuel !

 

Ben oui quoi.

Moi je suis pour l'inscription des êtres virtuels
sur les listes électorales.

D'ailleurs en cherchant bien je crois que ça existe déjà !
Mais c'est encore considéré comme une fraude.
En fait il faudrait pouvoir comptabiliser
ce que ces personnes morales
rendent comme services
réels à la société.

 

 

Oui vraiment il faudrait pouvoir comptabiliser les services que chacun rend à la société. Hum, ce n'est pas facile. Encore faudrait-il que la société propose le plein emploi pour chacun de ses membres. Quoiqu'en disent les politiques, c'est matériellement impossible. Etant donné que les machines inventées par les hommes (et les femmes) grignotent les tâches automatiques (sauf en Chine), le partage du travail s'impose de plus en plus ! Il est particulièrement malsain d'encourager ceux qui ont déjà un emploi, de travailler plus ! Et pourtant certains n'hésitent pas à s'immiscer ainsi un peu plus dans la fracture sociale afin de l'empirer.
C'est totalement indigne.

 

 

  

 

Le paradis terrestre il est ici et nulle part ailleurs.

L'enfer est ici également... c'est selon...

 

Le paradis céleste, ça c'est autre chose.

Je ne peux en parler, je n'ai aucune mesure consciente pour le faire.

 

Mais ce que je sais...

c'est que ce matin en marchant à travers champs derrière la maison,

je ressentais la vie comme un paradis terrestre.

 

Le bruissement des feuilles qui accompagnait les trilles des jaseurs des cèdres

qui se saoulaient et se gavaient de petites fraises des champs...

 

Ce vent venu nous entourer de sa présence odorante...

Ces monarchs qui font leur cocon sur les tiges des asclépiades...

Ces libellules qui dansent la vie...

Ces criquets, qui de par leur cadence, rythment ce tout

afin de créer des instants de vie paradisiaques en harmonie avec le Tout...

 

TOUT cela pour ceux qui savent vibrer la simplicité de ce qui EST...

ceux qui s'en émerveille encore. 

 

Encore faut-il s'agenouiller pour honorer l'abondance qui est là sous nos pieds ;o).

Être au coeur de toute cette nature encore vierge par endroits,

est une vraie bénédiction.

 

Si on ne le voit pas maintenant ce paradis, quand le verrons-nous ?

 

Demain ?  Rien de garanti ! 

 

Ayâ Lu

 

 

Le paradis terrestre se trouve là, où la main de l'homme n'a encore jamais mis les pieds. Il est dans notre futur. Dans un espace temps restreint. Mais on peut le deviner et même le voir. car la vision peut transcender la matière. Comme le chant des oiseaux au petit matin et le parfum des fleurs des champs. Le paradis céleste est sur la terre comme un fruit encor vert.

Mais je me dépêche maintenant car je dois cuire le repas.

Foie meunière aux petit oignons / petits pois ...

 

 

 

Oui, ce que nous vivons aujourd'hui sont comme des reflets d'un paradis futur et complètement achevé. L'éducation de l'homme y est néanmoins pour beaucoup. Car pour le moment il est évident que ceux qui prétendent diriger le monde ne savent pas s'y prendre. Prenons comme exemple l'agriculture intensive. Cela ne pourra pas durer. Car les déchets, le gâchis et la pollution sont les clés de la décadence de ce système. Ce n'est que lorsque qu'on verra refleurir les petites exploitations rurales que tout rentrera dans l'ordre naturel. Car le paradis n'est pas un artifice ni une projection de l'esprit céleste.

 

 

Ce Qu'il Fallait Démontrer ()

Comme la vague retourne perpétuellement  à son origine.

L

Ah le paradis céleste, je puis en parler.
C'est ma fonction de Pape ! 

C'est un endroit complètement à l'envers.
C'est comme un rêve ou l'on s'envole.
Au ralenti on glisse sur des pentes
et des reliefs blancs ou verts,
ouverts ou fermés, qu'importe
si le but est de se sentir bien.
L'Image que l'on garde de soi n'est plus là.

Le principal reste l'identité.

C'est un peu comme des publicités
pour des mondes inconnus.

Le problème est que l'éternité est lassante !

Croyez en ma vieille expérience.

Un peu de philo !  

« C'est une affaire entendue en 1987, nul ne conteste que le " socialisme existant " est la forme dominante du totalitarisme. Cela veut-il dire que Sartre a eu intrinsèquement tort, parce que dans la lutte contre les guerres coloniales d'Indochine, d'Algérie, dans ses prises de position en faveur des luttes ouvrières contre le patronat, dans son soutien au mouvement de Mai 1968, il s'est trouvé plus près de l'extrême gauche que de la droite libérale ? Le fait qu'il ne se soit jamais inscrit au PCF et que, bien qu'il ait proclamé que le marxisme était l'horizon indépassable de notre temps, il se soit toujours battu contre le stalinisme, devrait déjà nuancer le jugement : Sartre = dérive totalitaire. Est-ce que dans ces trois occurrences historiques il faudrait admettre que seuls ont eu raison ceux qui rétrospectivement portent un jugement d'autant plus juste qu'il s'énonce au futur antérieur ? " ...

 Avec la décrépitude annoncée des valeurs boursières uniquement spéculatives, il va falloir changer de ton dans les multinationales de la mondialisation ! Aujourd'hui le pillage des entreprises par les saigneurs de Wall Street commence à rigidifier tout le marché de la finance !

L

Avis aux ultra libéraux

 

 

 

Indépassable ...
mais pourtant dépassé !

...

 

 

Au fur et à mesure que s'écoule la vie,
chacun la maîtrise de mieux en mieux
dans le sens où chacun trouve sa mesure.
Enfin je veux dire en ce qui concerne ces gens
qui arrivés à la retraite, ont taillé dans le vif de l'existence,
leur petit coin de paradis où ils espèrent passer
encore quelque temps, bien à l'abris des soucis
matériels et spirituels.
Le problème qui subsiste demeure qu'ils auront ramés
pendant au moins les trois quart de leur vie
pour passer leur vieux jours au chaud.
Finalement, l'enjeu en vaut-il la chandelle ?

N'est-il pas mieux de cueillir la vie toute fraîche,
dès que se présente le plaisir ?
Mais là encore il s'agit d'être prudent
car ce fugace moment de jouissance
peut cacher des maux bien pire
que d'avoir su se priver...

 

 

Par exemple au Cambodge, les éléphants sont friands de cannes à sucre, de bananes et autres cultures ... Mais surtout ils ne pensent pas à la retraite.

 De la nuit tombée à trois heures du matin, les villageois de TRANG TROYENG, dans la province de KOMPONG SPEU, se battent pour protéger leurs bananeraies des attaques des éléphants.
Campés dans un champ qui borde le parc national de KIRIROM, où vagabondent certains des 250 derniers éléphants sauvages du pays, ils repoussent les animaux en tapant sur des casseroles et en patrouillant à la limite de la réserve ; mais pas pour longtemps.
"Nous nous sommes endormis car nous étions fatigués et les éléphants sont venus manger les bananes à 4H du matin." décrit TUY SEREIVATHANA à propos de la nuit fatidique d'il ya environ un an. "Nous sommes resté debout toute la nuit. Nous avons dormi dans le champs, mais nous avons perdu".
Ces batailles ont concerné d'innombrables communautés agricoles depuis des milliers d'années. Mais la déforestation rapide et la diminution du nombre d'éléphants a exacerbé les intérêts et des humains et des 40 000 à 50 000 derniers éléphants d'Asie menacés.
La fragmentation des forêts du continent et la forte densité de population font que chaque année, on dénombre plus de victimes de pachydermes déchainés qu'en Afrique où les éléphants sont pourtant dix fois plus nombreux.
Avec moins de 300 spécimens dans six des treize pays d'Asie où ils sont encore implantés, les experts craignent que les escarmouches pour protéger les bananeraies et les champs de riz deviennent une menace mortelle qui pourrait amener à l'extinction de populations vulnérables.

De petites escarmouches
Des plantations de thé du Sri Lanka aux champs de riz du Vietnam, les villageois qui ne peuvent se permettre de perdre leurs récoltes se dressent contre les éléphants, les chassant et les tuant.
Avec des éléphants restreints dans des habitats de plus en plus confinés, les flambées de violence se font plus fréquentes, reconnait SIMON HEDGE, codirigeant du groupe des spécialistes des éléphants d'Asie à l'union de protection mondiale.
"Comme ils aspirent à une meilleure qualité de vie, les gens deviennent moins tolérants dans les conflits qui les oppose à la vie sauvage," affirme-t-il.
Les rongeurs, oiseaux et primates peuvent causer plus de dommages aux plantations, mais les éléphants inspirent plus d'animosité car souvent ils blessent ou même tuent des personnes pendant leurs raids.
Au Vietnam où 80 éléphants vivent en petit groupes à la frontière du Cambodge et du Laos, le continent a à faire face à son premier cas récent d'extinction à cause de la perte de l'habitat et de la chasse.
"Les éléphants habitent dans une zone sensible où des personnes très pauvres ont besoin de se développer économiquement." prévient HA BICH NGUYEN, du bureau vietnamien du groupe faune et flore international (FFI).
"Le but du conflit était de savoir qui de l'homme ou l'éléphant allait survivre," précise-t-elle. Elle ajoute que les humains semblent avoir gagné la partie, car maintenant chez les éléphants le ratio de femelles par male ne semble plus en mesure d'assurer la pérennité de l'espèce.
"Malgré tous nos efforts, nous ne pouvons plus les sauver de l'extinction."

Combattre l'extinction
Réduire ces conflits pour aider et les éléphants et les hommes peut être réalisé grâce à une gestion prudente; mais juguler totalement les attaques est impossible, averti SUKUMAR
"C'est à double tranchant. Vous pouvez rejeter la faute sur les humains qui ont fragmenté l'habitat des éléphants."
"(Mais) une fois que les éléphants ont goûté aux culture, ils développent un penchant pour elles. Ils essaieront de revenir et les rechercheront, car elles sont plus attrayantes que ce qu’ils trouvent dans la forêt."
SEREIVATHANA, un expert cambodgien, espère qu'il sera possible de renverser les aspects négatifs d'une bête dont l'image révérée orne les paquets de cigarettes cambodgiens et les bouteilles de bière thaïlandaises mais qui aussi dévaste les récoltes, détruit les maisons et fracasse les bateaux des pêcheurs.
Débarquer dans les villages avec des policiers armés et dire de laisser les éléphants tranquilles n'est pas très efficace, concède-t-il. Au lieu de cela, à KOMPONG SPEU et dans une demi douzaine de villages, FFI a construit des tours de garde en bois, érigé des clôtures électriques et engagé des gardes pour effrayer les maraudeurs.
"Trois choses doivent être menées de front - améliorer la loi, l'éducation et les moyens de subsistance" clame SEREIVATHANA. "Nous devons nous préoccuper de l'existence de ces gens, comment ils peuvent trouver un nouveau travail ... L'éducation aussi est très importante afin que les personnes comprennent."
Son groupe finance l'achat de graines aux villageois pour les encourager à remplacer les récoltes habituelles telles la canne à sucre, les pastèques, les bananes et le riz dont les éléphants sont friands par d'autres moins à leur goût tels les aubergines ou les piments.
Pour certains fermiers, toutefois, la logique de changer de culture pour éviter les problèmes avec les éléphants ne suffit pas à adoucir la perte économique.
"Je continue à penser à cultiver de la canne à sucre ... Cela rapporte plus et a plus de succès que les aubergines" avoue SIEP NAIT, une villageoise de 50 ans en train d'empiler des légumes violet-noirs dans un champ paisible qui avant était régulièrement ravagé par les éléphants.
"(Mais) si je plante des cannes à sucre, j'ai peur que les éléphants reviennent et qu'il ne me reste rien."

Où sont les éléphants sauvages d'Asie ?
Avant, les éléphants d'Asie déambulaient dans neuf millions de kilomètres carré de forêts de la côte iranienne au sous continent indien, Java, Sumatra, Bornéo et la Chine.
Aujourd'hui disparus en Asie de l'Ouest, Java et la plus grande partie de la Chine, entre 40 000 et 50 000 individus restent dans des poches de forêt de 13 pays.
Environ 15 000 éléphants d'Asie vivent en captivité ou sont utilisés pour travailler, la plupart en Inde, au Myanmar et en Thaïlande. En comparaison, il y a uniquement 500 éléphants d'Afrique en captivité, la plupart dans des zoos occidentaux, et une population de 400 000 à 660 000 à l'état sauvage.

Gillian MURDOCH - Reuters